La police de la pensée à l’œuvre !
Ceux qui qualifient cet article de
“délire fascisant” font preuve d’une bien curieuse conception du dialogue, de la
liberté de penser et in fine, de la démocratie qui ne saurait exister
sans une exigeante liberté d’expression.
À ce titre ne sont pas les plus
“fascistes” ni les plus “révisionnistes” ceux qui sont ici dénoncés comme tels.
D’ailleurs ce type d’argument commence à lasser… de plus il est
minable.
Ajoutons que, soit l’honorable commentateur est sur le fond
particulièrement ignare, soit il tombe sous le coup de la loi pour
révisionnisme, falsification et désinformation… mais ce n’est pas à nous de
qualifier de tels comportements.
Il n’en reste pas moins que les sources
de l’article sont parfaitement vérifiables (manuel du biffin américain, revue
des forces armées, etc.), de même que le partage du monde entre soviétiques et
anglo-saxons s’est bien effectué à Téhéran et à Yalta, ce qui supposait des
guerres de conquête préalables. Non ? Pour les grandes âmes de Washington il
s’agissait non seulement de conquérir l’Europe, d’en faire une succursale,
c’est-à-dire une “colonie”, mais d’avancer vers la “domination mondiale” comme
va le théoriser le génial néo-conservateur (avant la lettre), l’ex trotskiste
James Burnham, que l’on serait bien avisé de relire aujourd’hui.
Alors
messieurs les contempteurs, négationnistes de la réalité vraie, mettez-vous
aussi un bémol à vos délires. Navré pour vous que le soleil ne soit
définitivement pas à son zénith à minuit comme vous semblez fanatiquement le
croire !