A qui le crime profite-t-il ? Déjà à ces scientifiques de troisième ordre, recrutés et financés pour mentir selon les ordres. C’est à leur docilité à la corruption gouvernementale U.K. (à l’initiative de Margaret Thatcher) puis intergouvernementale sous coordination ONU, qu’ils doivent des carrières complètement anormales, en violation de la méritocratie scientifique normale. Judith Curry l’a fort bien analysé ; tu en trouveras la traduction chez Jacques Duran.
A Météo France, si le patron apprend que tu es incroyant envers son mythe R.C.A. c’est la porte, s’inscrire au chômage. Les ingénieurs de Météo France ne peuvent discuter avec un conférencier incroyant qu’en cachette.
L’IPCC a truandé les relevés de températures néo-zélandaises, et des météorologues néo-zélandais ont protesté.
Ils ont truandé les relevés de températures russes, et des météorologues russes ont protesté.
Ils ont truandé les relevés de températures scandinaves, et des météorologues scandinaves ont protesté.
Ils ont truandé les relevés de températures rurales U.S. pour les calquer sur les bulles thermiques des villes, et des météorologues U.S. ont protesté.
Ils ont truandé des masses de statistiques, et ça a fini par se savoir.
Un syndicat de la fraude, sous le contrôle de leurs corrupteurs en haut lieu.