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Commentaire de JC_Lavau

sur Quand des sommités niaisent à pleins tubes


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JC_Lavau JC_Lavau 19 juillet 2014 11:50

« Pourquoi une onde donne lieu à un dépôt d’énergie localisé en un endroit de l’espace et du temps ? »
Pour moi, c’est de là que tout est parti, de ce détecteur de monoxyde de carbone :
http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/coluche-nous-avait-explique-154321#forum4074052

Une molécule de CO, c’est 3 Å de petit diamètre, 5 à 5,5 Å de grand diamètre. Et pourtant ça capture un photon I.R. de 4,67 µm de longueur d’onde, donc large d’au moins 10 µm (voire bien davantage selon la longueur du trajet), et de longueur centimétrique, voire davantage, jusque décamétrique. Et avec une grande efficacité, en plus !
Il n’y a qu’une seule solution : la symétrie-temps entre l’émission et l’absorption.
C’est la même physique et la même modélisation mathématique, pour l’émission d’un photon orthochrone d’énergie positive, et l’émission d’un anti-photon, rétrochrone, d’énergie négative, de fréquence négative.
Fin du problème. Et voilà un inventeur de plus de la théorie transactionnelle. A Lyon 1, à l’IN2P3, personne ne savait que j’étais antériorisé de douze ans par John Cramer. Aveuglement sélectif...

J’ai longuement posé la question : quel est donc le diamètre d’un électron quand il percute une cible ? La réponse était évidente depuis les expériences qui avaient montré les « partons » dans le noyau, depuis identifiés comme quarks : c’est la nature et la largeur de la réaction d’annihilation (en l’occurrence une diffusion, ou « scattering ») qui fait à elle seule tout le diamètre de l’électron à l’arrivée. Alors que durant le vol, il peut s’expanser selon la loi qui dirige les fuseaux de Fermat : pourvu que tout arrive en phase à l’arrivée, fut-ce à un nombre entier de périodes près. D’où les célèbres expériences d’interférences type Aharanov-Bohm.

Et pour les photons, c’est ce qui permet l’astronomie interférentielle à large base : sur des distances astronomiques, les photons se sont élargis sur des largeurs elles aussi astronomiques, ils ont donc facilement pu se synchroniser en grappes, en bons bosons. « Bunching » en grand-breton.


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