• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Daniel Roux

sur La gauche n'est pas au pouvoir !


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Daniel Roux Daniel Roux 27 août 2014 10:13

Il fut une fois un beau pays appelé UTOPIA. Dans ce pays fort fort lointain totalement entouré d’océans infranchissables, les gens étaient heureux, la manne tombait du ciel, le soleil brillait le jour et il ne pleuvait que la nuit. Il n’y avait pas de roi, pas de loi, pas de juge, pas de voleurs car pas de propriété privée, ni d’argent. La population était constante et personne ne mourrait...

Oui, mais non. La France fait partie d’un monde dominée par des prédateurs sans pitié qui considère le peuple comme une masse stupide facilement manipulable et exploitable. Les lois sont faites pour maintenir la domination de ces prédateurs sur le monde. Les médias, les élections, l’opposition, les partis révolutionnaires, tout participe au cirque cruel de l’humanité.

Imaginons qu’un pays imaginaire, appelons le « Venezuela », se libère des chaînes qui l’emprisonnait grâce à un homme issus du peuple, qui ne le trahirait pas et qui serait assez démocrate pour permettre à l’opposition d’exister et de posséder des médias. Aussitôt, toutes les médias et gouvernements des « démocraties occidentales » et de la « communauté internationale » se déchaînerait contre lui, l’isolerait, tenterait de se débarrasser de l’homme providentiel par un coup d’état ou en lui refilant une maladie incurable par un poison sophistiqué. Tant et si bien, que le pays, mis en quarantaine économique et incapable de se suffire à lui-même comme beaucoup, se retrouve totalement ruine.

La majorité des Français, sont-ils prêts à renoncer à leur confort pour retrouver une liberté politique et économique dont rien ne prouve qu’elle apportera plus de bien que de mal ? Y a t-il un homme aussi honnête que providentiel émergeant du cloaque politique ?

Non, hélas. Alors arrêtons de nous raconter des histoires en attendant que les autres fassent ce que nous ne faisons pas nous-même. Apprenons et évoluons. Agissons sur ce quoi nous pouvons agir et comme nous souhaitons que les autres agissent. N’achetons que des produits fabriqués selon des critères que nous approuvons, ne travaillons pas plus d’heures que ne l’exige notre contrat de travail, ne méprisons plus les autres parce qu’ils sont différents, ne votons plus pour nos ennemis et d’autres choses comme ça.

Les politiques ne sont que des hommes avides de pouvoir et ils feront ce qu’il faut pour être réélus. Si nous changeons, ils changeront.


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès