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Commentaire de soi même

sur De l'autorité… L'expérience la plus terrible de la psychologie restera toujours d'actualité


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soi même 12 octobre 2014 20:42

@ Fifi, vous savez très bien que personne aime ce compliquer la vie , et en ce qui concerne la politique plus les paroles sont prometteuses d’un avenir radieux plus l’on est en clin à ne pas réfléchir sur la véracité des propos et des promesse intenables !
Un bon politique sait très bien utilisé les mots qui feront mouches dans les oreilles qui veuillent bien entendre ce qu’ils leurs font plaisir à entendre !

 ( l’auteur, les humains se soumettent toujours à l’autorité ), c’est le principe même de la vie collective en société tous est fondé sur l’autorité quelle soit explicite par l’État et son organisation où implicite par les règles qui en découle, le principe de l’autorité est honnis présent dans la vie des l’homme et des organisions sociales.

Le problème n’est pas la soumission à l’autorité, c’est comment on ce sonnet à l’autorité ?
Pour conduire une voiture, l’on doit bien accepter ses règles de conduite et le code de la route, donc on est bien dans ce cas de figure connectant à une autorité qui en définie les règles.
En soit l’autorité n’est pas malveillance, c’est le principe même de l’éducation ce que l’on induit comme respect en étant un exemple pour les enfants dont on à la responsabilité !

Le problème qui est décrit ici et avant tous un défaut de conscience, c’est cela le véritable problème, si par exemple j’ai autorité sur toi par un pouvoir qui m’est conférer, je te demande de tue un homme, es que tu vas exécutes c’est ordre par ce que je t’es demander où tu vas avoir le courage de te poser la question si mon ordre est légitime ?

La réponse à la question ne peut être une réponse simple, il y a tous le contexte qui va déterminé ta réponse, même si dans l’absolue il est préférable de renoncer à cet acte, c’est le principe même de l’armé où l’on est bien soumis à une institution qui à la charge de défendre la nation !

Donc c’est bien le contexte qui va déterminé si l’on doit respecté l’autorité où l’on à le devoir de désobéir, c’est pour cela les principes moraux ne suffissent pas, on doit aussi introduire la conscience dans ce jugement !

( quel est le rapport entre l’expérience de Milgram et la situation politique actuelle ? )

Avant tous c’est une affaire d’égoïsme déranger et les gens aspirent à la tranquillité et la quiétude de leurs affaires car on est avant tous profondément égoïste et l’on aime pas être inquiété dans ces habitudes, c’est pour cela que l’on une aspiration nostalgique au passé où tous parait idéaliser !

Je répond à votre question tous en sachant dans le contexte de l’article votre question est hors de propos .

Que veux dire faire partie d’une communauté humaine, c’est un ensemble de personne qui évolue dans un consensus qui régie les réglés et organisations sociales, les communautés humaines ne peuvent exister que si il y a pérennisation de la société et le rôle de la politique est administré cette pérennisation à travers l’exécutif et l’administratif tous cela dans le cadre de la constitution qui en fixe les valeurs et les règles !

si par aventure, la politique n’est plus en mesure de respect l’idée de cette constitution, on est manifestement dans un abus de pouvoir, un autoritarisme et il est vrai tous dépendra de votre conception du monde qui ferra que l’on refuse le fait où que l’on accepte cette nouvelle donne, cela ne veux pas dire ceux qui accepte cette nouvelle donne soit dans une posture passive de soumission
 !
Il y a un ouvrage qui relate bien ce cas de figure même si il commence à dates, Le Viol des Foules de Serge Tchakhotine
.
http://radioparasita.org/sites/default/files/Gong/052013/serge_tchakhotine_ le_viol_des_foules_par_la_propa_15336.pdf

Il montre comment la propagande politique viol le peuple et conduit un peuple à devenir solidaire des et complices d’acte les plus destructeurs pour l’humanité.

C’est dans ceux sens, que l’on peut faire le parallèle entre cette expérience et une société autoritarisme qui va anesthésier le jugement morale et justifier ses actes car ils sont conforme aux lois en vigueur.

C’est en lissant La Désobéissance civile de David Henry Thoreau que ce n’est pas une mince affaire d’être fidèle à ces convictions et de nager à contre courant !


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