J’aimais bien Souchon, ses textes inspirés, poétiques, drôlement bien ficelés en ritournelles un peu nostalgiques, un peu ébréchées. Un modèle dans le désert français.
L’alliance avec Voulzy....
Ouai, deux gros chouettes copains qui se tapent dans le dos, ça donne pas forcément le meilleur du meilleur.
Le cidre, ça se boit jeune, ensuite ça s’aigrit.
Parole de breton.
Voulzy, il me rappelle ce type dans les orchestres qu’ a tendance à se déplacer jusqu’à l’ampli, histoire d’augmenter le son de sa Fender.
Avec ça un peu guimauve, ou carambar, des trucs de midinette « fleur bleu quoique ne refusant pas un petit joint », qui vous colle aux dents.
Est ce bien raisonnable quant à a 60 berges bien sonnées de se faire retendre la peau teindre les cheveux et de piquer la place aux ados ?
Au bal des vampires et des morts vivants, le « no future » continue à se dégrader dans un présent éternel.
Jane Birkin n’est pas loin, avec cet éternel accent anglais qu’elle entretient jalousement.
Et autres enfants des sixties, tel Jean Louis Aubert, refusant qu’on leur enfonce un pieu dans les cœur.
« Avec le temps va tout s’en va ! » Comme disait Léo Ferré.