"Jacques Monod avait donc nié à priori la possibilité de
transformation de l’ARN en ADN"
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Une nouvelle approche thérapeutique du cancer Affaire Galilée du XXème Siècle ?
Auteur : Henri Boiteux, Agrégé de l’Université, Ancien Administrateur
de l’Institut de Recherches Scientifiques sur le Cancer (C.N.R.S)
Article publié dans la revue Nexus des mois de Juillet/Août 2004
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La querelle de la transcriptase inverse bactérienne
Il faut dire que l’existence de cette transcriptase inverse est une
pierre, même une très grosse pierre, dans le jardin de Jacques Monod,
supérieur direct de Beljanski de 1952 à 1971, puis Directeur de
l’Institut Pasteur jusqu’à sa mort en 1976.
Jacques Monod a obtenu le Prix Nobel parce qu’il a montré que l’ADN
est le point de départ des réactions biochimiques qui, par
l’intermédiaire de l’ARN, produisent les protéines nécessaires à la vie
des cellules donc à la vie tout court. Pour J. Monod c’est l’ADN qui a
le rôle primordial dans la vie et le développement de la cellule. Fort
de son succès, il publie un livre ” Le Hasard et la Nécessité “, qui
sort en 1970 (année de l’annonce par Temin de la réalité de la
transcriptase inverse dans certains virus) et dans lequel on trouve le
passage suivant :
” Il n’est ni observé, ni d’ailleurs concevable, que l’information soit
jamais transférée dans le sens inverse (c’est à dire de l’ARN vers
l’ADN). C’est l’un des principes fondamentaux de la biologie
moléculaire. ”
...
Jacques Monod avait donc nié à priori la possibilité de
transformation de l’ARN en ADN, c’est à dire l’existence de l’enzyme
permettant cette transformation. Beljanski a montré au monde entier que
Jacques Monod s’est complètement trompé dans son propre domaine de
recherche (les bactéries) Commence alors pour Beljanski une exclusion de
la communauté des biologistes français. Car Jacques Monod refuse à
priori de s’incliner devant les faits. Au lieu de refaire ou de faire
refaire les expériences de Beljanski pour en vérifier les résultats, il
s’enferme dans sa vision de la vie de la cellule et refuse d’en discuter
: il a édicté son dogme et tout le monde doit s’incliner. C’est ce
qu’ont compris tous ceux qui gravitent autour de lui, à l’exception de
Beljanski. Il faut remarquer que la conclusion ” c’est l’un des
principes fondamentaux de la biologie moléculaire ” déborde largement le
domaine des bactéries qui est l’objet des travaux de J. Monod. D’après
lui, ce principe s’applique à tout le domaine du vivant, qu’il soit
animal ou végétal. J. Monod ne fait pas dans le détail.
Puisque Beljanski a infirmé l’affirmation de J. Monod, celui-ci fait
savoir aux biologistes que Beljanski est un mauvais chercheur ; il est
inutile de tenir compte de ses travaux, donc de lire ses publications.
Cela n’empêche pas Beljanski de continuer ses recherches, même si ses
conditions de travail sont devenues difficiles car Monod l’a parqué dans
une pièce en sous-sol en lui enlevant des moyens de travail (par
exemple l’utilisation de l’animalerie). Il est aidé par son épouse,
seule technicienne à sa disposition, que Monod n’ai osé lui retirer.
[...]
Par ses raisonnements de biochimiste, Beljanski montre que les
liaisons ouvertes ne se situent pas au hasard, mais séparent les deux
hélices sur une certaine longueur. Il montre que cela a pour
conséquence de resserer l’ADN aux deux extrémités de cette partie
ouverte, de modifier des enzymes, etc…etc…
[...]
http://beljanski.org/francais/2004/...
Retour sur le cas du Dr Beljanski, victime d’une fatwa medicale
http://reseauinternational.net/reto...