@alinea
non la mère ne dit pas grand chose, et je pense que c’est le contraire :
« la loi doit être bonne puisqu’elle te dessert... »
parce que j’entends dans vos derniers mots « conte surmoi »,
la question de fond, dans cette auto-punition silencieuse manifeste, étant :
« que vais-je faire de mon surmoi ? »...
l’étape est normale, incontournable :
l’autopunitif branché sur la logique du passage polarisé en auto-érotique,
pose, dans l’équation, le discours à la mère comme lieu même du non-discours au groupe,
et la mère fonctionne à ce moment-là, pour un instant, selon la vieille gare « objet transitionnel » ;
il est probable qu’une vieille poupée ou un ours en peluche réussit encore à l’empêcher
de râcler d’un coup de gueule, qui ne saurait tarder, l’ensemble des demoiselles
humides à cette chorégraphie cocasse.