Mots d’un scientifique réputé, et en tous cas officiellement reconnu et honoré en France :
- " ...la vraie-fausse controverse sur le changement climatique m’a fait
douter car elle venait illustrer au sein même des sociétés démocratiques
la nouvelle fragilité du discours scientifique, sous l’effet conjoint
de deux phénomènes : d’une part des « conspirations en plein jour »,
c’est-à-dire des mensonges publiquement assénés ; d’autre part des
stratagèmes pour ne pas accorder de crédit à ce que nous savons, surtout
si les implications intellectuelles ou pratiques de ces savoirs nous
dérangent… Heureusement il existe des journalistes scientifiques
courageux et compétents qui, inlassablement, débusquent et dénoncent les
contre-vérités. »
cf
http://biosphere.blog.lemonde.fr/2012/06/13/la-verite-mediatique-sur-les-climatosceptiques/
Dans les jugements assénés et publiquement proclamés ce qui est certain et vérifiable c’est, avant tout, que leurs auteurs prétendent tenir pour vraie l’interprétation qu’ils retiennent des intentions de ceux qu’il jugent. Intentions supputées vs intentions péremptoirement galvaudées (alors que les cas où elles pourraient être vraiment démontrées sont exceptionnels).
Les intentions des juges ne sont pas interprétées puisque ce sont eux-mêmes qui les avouent et même les revendiquent ! Les intentions des jugés restent la plupart du temps des hypothèses non prouvées, fruits des spéculations de ceux qui jugent.
( à propos d’imposteurs, ce qui sort de la bouche des enfants - bien avant qu’ils n’atteignent l’âge allègre de la science, c’est : « çui qui dit c’est çui qui y est »)
Lorsque le stratagème est identifié, la charge du jugement est retournée !