@pemile
Ben rien qu’essayer de donner une réponse à ce qui permet de délimiter quoi que ce soit fait partie de la problématique de toute façon, non ?
Sans jouer au chat et la souris plus avant, une démarche éventuellement utile pourrait déjà consister à relever différents points de vue depuis différents domaines d’étude.
Si on prend par exemple le domaine et point de vue scientifique communément admis par la communauté scientifique mainstream (chaque sous classification ici étant elle même à considérer distinctement), il faut déjà distinguer trois niveaux de conscience, primaire, réflexive et conscience de soi.
La conscience de soi engloberait simplement hominidés et dauphin, et envisage selon le fait d’être en capacité de reconnaître son identité propre et singulière.
Mais qu’en est il de la conscience qui consiste à donner du sens à son environnement, à donner du sens à l’univers, y englobe t’on toujours singes supérieurs et dauphins, et comment le savoir ?
De facto en tout cas, la science met de côté ce que tous les autres domaines de pensée humains (philosophie, métaphysique, ésotérisme, etc...) considèrent comme la variable de définition/compréhension prioritaire ou exclusive à notre espèce tout comme explication ontologique indispensable.
Est ce seulement une lacune ou une volonté délibérée ?
Sur quelle base dès lors intégrer ou disqualifier quoi que ce soit en fonction de points de vue et d’étude par là forcément concurrents, mais qui pourtant ne peuvent souffrir de l’être vu le sujet d’étude en cause ?