@thomas abarnou
Vous parlez de dialogue ?
Le 49-3 c’est le dialogue ?
Le consensus mou ! C’est le dialogue ?
L’intention de Valls d’interdire les manifestations à Paris ? Le Dialogue ?
La possibilité de licencier sauvagement ? C’est le dialogue ?
Quant au monde de l’entreprise, une chose est sûre et simple, le slogan c’est : Ferme ta gueule ! Travaille ou casse-toi !
Voilà, c’est un peu cru, mais c’est réaliste !
Et alors interviennent les syndicats.
Ils sont là pour infirmer la VOLONTE DES ENTREPRENEURS de n’en faire qu’à leur tête !
Les syndicats sont là pour « recadrer » les entrepreneurs ! Vous savez, ceux qui n’hésitent pas à mettre sur orbite leurs employés en les licenciant !
C’est gênant pour les entrepreneurs, alors on discrédite les syndicats !
Les inspecteurs du travail sont là pour vérifier et sanctionner les entreprises qui, dans l’illégalité la plus complète fraudent et violent le droit du travail !
Alors on cherche à supprimer les inspecteurs du travail !
Ah ! ce droit du travail qu’ils voudraient bien voir disparaître pour avoir les coudées franches, pour faire n’importe quoi ! Eh bien non !
Les prud’hommes sont là pour juger des conditions des licenciements abusifs ou non !
Force doit rester à la Loi !
Alors on cherche à supprimer les prud’hommes.
Et ce n’est pas au patronat (MEDEF) à la dicter, « sa » loi !
Ni aux ministres et aux politiques de se voir dictées par le MEDEF, les lois à venir !
Les électeurs ont élus des femmes et des hommes politiques et non le MEDEF !
Que le MEDEF se borne donc à son rôle associatif pour lequel il a été élus par ses pairs, les entrepreneurs, ses cocktails et ses mondanités !
Les élus, OUI, eux ont des comptes à rendre au peuple, à leurs électeurs.
Qu’ils se mettent bien cela en tête !
Enfin, pour conclure mon com : un peuple qui se soulève reste un peuple qui se soulève, je sais ça donne des boutons à beaucoup de monde et à commencer par les réactionnaires, mais un peuple ne se soulève jamais pour rien !
Et croyez-moi, la loi MEDEF/MACRON/EL KHOMERIE, le peuple la connaît, dans ses grandes lignes, ses tenants et ses aboutissants.