Un peu d’histoire du WWF, assassin en chef :
http://indicescibles.blogspot.fr/2013/01/lhistoire-du-wwf-world-wildlife-fund.html
En Janvier 1961, quelques mois avant qu’il ne lance sa nouvelle « Arche de Noé », autrement dit le World Wildlife Fund (WWF), pour sauver les espèces animales en voie de disparition sur la planète, le prince Philip accompagna la reine Elizabeth lors d’une visite royale en Inde. Parmi les attractions que l’un de ses hôtes, un rajah local de Jaïpur, organisa pour les festivités royales, il y avait une chasse au tigre. D’une plate-forme élevée dans les arbres, hors de tout danger, Philip tira sur un des célèbres tigres indiens, qui avait été attiré par des chèvres que le rajah avait parqué, captives. La photo de Philippe se tenant fièrement près de sa victime de près de 10 pieds de long du nez à la queue (un peu plus de 3 mètres), provoqua un tollé dans le monde entier.
http://4.bp.blogspot.com/-6h3FELMIiGM/UPGLJ31lkfI/AAAAAAAAInA/8PRvEa_JniU/s1600/philip-tigre.jpg
Secoué,
le prince consort poursuivit sa tournée, arrivant à Katmandou avec un
bandage bien en vue sur son index, expliquant qu’une blessure pourrait
empêcher sa participation à la « chasse traditionnelle » du Roi, mais que,
néanmoins, il l’accompagnerait.
Philip et Elizabeth se promenèrent
perchés sur quelques des 300 éléphants utilisés pour débusquer le
gibier, tandis que la Reine passait son temps à prendre des photos.
Plusieurs
tigres furent abattus ce jour-là, mais aucun ne fut officiellement
attribué à Philippe. Philippe qui ne fut pas non plus crédité pour la
mort d’un autre animal tué ce jour-là, un rhinocéros indien extrêmement
rare.
Il n’en restait que 250 dans le monde, après que les planteurs
de thé britanniques aient terminé de les massacrer pour faire de la
place pour leurs cultures.
Alors que les éléphants marchaient
lentement collés les uns aux autres, une femelle rhinocéros avec son
petit se retrouva piégée entre eux, encerclée. Un des participants à la
chasse royale, Lord Alex Douglas-Home, connu pour être l’un des
meilleurs tireurs de toute l’Angleterre, tira près de l’animal pour
tenter de le faire fuir. Mais le rhinocéros trébucha sur le passage de
Philippe. "Et Philippe abattit l’animal à la grande stupéfaction et
horreur de tout le monde", raconta plus tard Ian Mac Phail, directeur
international du WWF en charge de lever des fonds, à un membre
britannique d’une équipe de tournage. Le bébé rhinocéros terrifié
s’échappa en se faufilant en toute hâte entre les pattes des éléphants.
« Il a du mourir aussi » ajouta Mac Phail, "il était beaucoup trop jeune
pour s’en sortir tout seul."
Toute l’affaire fut dissimulée,
expliqua MacPhail, parce que le projet de création du WWF était déjà en
préparation. « Je participai à l’opération de camouflage », déclara-t-il à
l’équipe du film en 1990, pensant encore que sauver les diverses
espèces animales étaient vraiment la raison fondamentale et l’intérêt
commun à tous.
Réfléchissant sur l’échec complet du WWF à concrétiser
cette ’bonne cause’ au cours des trois précédentes décennies, il en
conclut : "Mais avec le cœur lourd, je dois vous dire que je me trompais.
Le rhinocéros, l’éléphant et le panda ratèrent le coche et l’arche de
Noé prit la mer sans eux. "
L’attitude personnelle de Philippe
caractérise celle du WWF dans son ensemble. De 1961 jusqu’à ce jour
(1994), le WWF a présidé, et dans de nombreux cas, organisé et financé, y
compris l’achat d’armes, le massacre systématique et la
quasi-extinction des espèces les plus éminentes sous son seul contrôle
auto-proclamé.
Et, sous le couvert de préoccupation pour les
animaux, il a utilisé une partie substantielle des centaines de millions
de dollars de fonds récoltés jusqu’à ce jour, pour financer le massacre
d’êtres humains, en particulier en Afrique sub-saharienne.
Dans
le récit qui suit, il faut comprendre que le WWF fut, dès le départ, le
fief personnel de Philippe, qui supervisa toutes ses opérations presque
jusque dans les moindres détails.
Sir Peter Scott, l’un des
fondateurs du WWF et président de longue date, expliqua à EIR (Executive
Intelligence Review) dans une interview réalisée au début des années
1980, pourquoi le Prince Bernhard, plutôt que Philippe, devint le
premier président international du WWF : "Lorsque nous avons démarré le
WWF, un président britannique aurait paru ’trop colonial’."
Mais,
Scott souligna que c’était bien Philippe, pas son ami le prince
Bernhard, qui était la locomotive - témoignage confirmé par d’autres au
sein de la hiérarchie du WWF. Le directeur général de longue date,
Charles de Haes déclara à un journaliste, "le prince Philip est
brillant, il a une connaissance remarquable. Il est impliqué dans le WWF
depuis sa fondation en 1961. Il est incroyablement actif. Il préside
toutes les réunions de comité exécutif. Il est impliqué dans tous les
aspects de sa politique.«
Le docteur Anne Schiotz du WWF ajouta, »Le
Duc d’Edimbourg consacre peut-être un quart de son temps au WWF - il est
remarquable."
Le WWF est surtout connu pour ses efforts de
conservation de quatre espèces animales, qui étaient toutes dans un bien
meilleur état en 1961 qu’elles ne le sont aujourd’hui.
Deux d’entre
elles, le panda et le rhinocéros noir d’Afrique sont proches de
l’extinction, et les 2 autres l’éléphant d’Afrique et le tigre d’Inde
prennent la même direction à grands pas.
A maintes reprises au
cours des 33 dernières années, le WWF fut informé, souvent par le biais
de rapports qu’il avait lui même demandé, de l’extinction proche des
différentes espèces.
Dans chaque cas, il supprima, parfois de manière brutale, l’information.
Trois des cas les plus notoires sont :
. Le « Black Ebur Report ».
En
1972, Sir Peter Scott, fondateur du WWF, chargea un chasseur de gros
gibier basé à Nairobi, Ian Parker, de se pencher sur le commerce
lucratif et en plein essor bien qu’illégal de produits d’origine animale
tels que les défenses d’éléphant et les cornes de rhinocéros.
Entre
autres choses, Parker révéla que la famille du président kenyan Jomo
Kenyatta étaient des commerçants notoires de produits illégaux, et que
sa fille Margaret était la secrétaire d’une société qui vendait des
cornes de rhinocéros et des défenses d’éléphants en Extrême-Orient, un
commerce qui avait probablement fait plus pour décimer les grands
animaux du Kenya que toute autre chose.
Parker donna également les noms de plusieurs des plus importants ’écologistes’ du Kenya comme étant des braconniers.
Dans
les heures qui suivirent la remise du rapport à Scott, Parker fut
arrêté, emmené au bien connu Kenyan Special Branch’s Langatta Road
station ou il fut battu pendant trois jours et sommé de se taire sur ce
qu’il avait écrit ou sa femme serait tuée.
Le rapport, donc l’enquête
la plus complète sur le massacre de la faune africaine jamais réalisée,
resta enterré pendant 17 ans jusqu’à ce que le cinéaste irlandais Kevin
Dowling ne le déterre et l’utilise pour son exposé cinglant du WWF, "
Ten pence in the Panda," pour le Britain’s Independent Television
network.
À peu près au même moment où Parker était battu, le
président international du WWF, le Prince Bernhard accorda à Kenyatta,
son ordre du mérite spécialement créé, the « Order of the Golden Ark »,
pour avoir « sauvé le rhinocéros. »
Bernhard était pourtant bien
informé qu’un grand nombre d’animaux avaient disparu pendant le mandat
de Kenyatta, parce qu’il avait reçu - et même signé pour - une copie du
Black Ebur Report.
Quand il fut divulgué que Bernhard possédait ce
rapport accablant, le directeur général du WWF, de Haes, affirma que ce
n’était pas une affaire qui concernait le WWF, mais qu’il s’agissait
simplement d’une « enquête privée » de Bernhard.
. Le « Phillipson Report ».
À
la fin de l’année 1989, le professeur d’Oxford, John Phillipson,
termina son audit interne, commandé par le WWF sur l’efficacité de
l’organisation. Le rapport de 252 pages de Phillipson, dont des extraits
ont été rendus publics pour la première fois ici, était une
condamnation cinglante de l’incompétence scandaleuse et maladroite du
WWF, ou pire.
Il concluait que ce que le WWF avait adopté comme
mission spécifique - sauver des espèces distinctes - était ce à quoi il
était le moins bon.
Après avoir reçu une copie du rapport, Philip
envoya immédiatement un mémo secret au directeur général de Haes,
ordonnant que Phillipson modère ses conclusions ou, à défaut, que les
principales conclusions du rapport soient supprimées.
A suivre.
21/06 14:01 - JC_Lavau
Suite 3 : Selon ces analystes, les actions du WWF relatives à la sauvegarde des espèces (...)
21/06 13:54 - JC_Lavau
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21/06 13:51 - JC_Lavau
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21/06 13:47 - JC_Lavau
Un peu d’histoire du WWF, assassin en chef : http://indicescibles.blogspot.fr/2013/01/lhisto
04/06 14:18 - ouragan
Un rappel tout de même : Le loup est classé Least Concern (non concerné) sur la liste des (...)
21/02 19:39 - Shawford
@Le421 Yep, buddy par contre ton clone qui se permettait de me doubler comme un zinzin pour (...)
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