@Le p’tit Charles
Dieu..créa les
hommes pour son plaisir pervers et malsain...
L’homme
est le fruit d’une évolution très hasardeuse. « Normalement »
il n’aurait pas dû émerger mais comme des milliers d’espèces,
comme les dinosaures disparaître ...
En
effet, la bipédie pour un animal sans crocs ni griffes est un
handicap normalement insurmontable. Et toutes les différentes formes
d’anthropopithèques ont disparu après une grande sécheresse en
Afrique où ils ont été victimes des fauves qui les attendaient aux
rares points d’eau.
Toutes
? Non, à l’image du village gaulois d’Astérix, un infime petit
groupe moins de vingt mille individus, la limite pour éviter une
fatale consanguinité, a survécu en vivant près de la mer, entre
une côte rocheuse percée de grottes et d’où sortaient des sources
d’eau douce.
Il
y avait sur la plage des galets de toutes tailles qu’ils ont appris à
lancer, dissuadant les fauves de se risquer dans cet environnement
non familier où une pluie de pierres pouvait leurs causer des
blessures graves.
Là,
ces herbivores ont découvert les fruits de mer et leurs protéines,
ce qui leur a permis de développer leur cerveau (doublement de volume).
Puis un retour à
une ère plus humide leur a permis de reconquérir le continent
africain, en force.
Bernard
Dugué écrit : Au 20ème siècle, les savants ne croient
plus en un Dieu cadré par les écritures révélées ou conçu en
extrapolant la physique moderne.
Qu’est-ce
qu’un savant ? Quand est-ce que l’on mérite ce titre ? Le terme est
désuet.
La
plupart des universitaires sont athées.
Dieu
? Ils n’ont pas besoin de cette hypothèse comme disait je crois
Roberval à Buonaparte, le salaud cynique, qui souhaitait grâce au
concordat, endormir le peuple avec l’opium du peuple et lui faire
oublier les libertés de la Révolution.