@ Paul T
Dans la foulée je vous rappelle que Michèle Rivasi, députée européenne, membre de EELV qui ne manque pas de compétences scientifiques dans le domaine comme dans le nucléaire (fondatrice de la CRIIRAD), avait sur le dogmatisme vaccinal des prises de positions assez identiques à celles finalement assez soft du Professeur Joyeux aujourd’hui victime du tribunal de l’inquisition du Conseil de l’Ordre des médecins.
N’êtes-vous pas en train de vous tirer une balle dans le pied en faisant la chasse aux sorcières ?
La vaccination des nourrissons : le jackpot pour les laboratoires pharmaceutiques ?
Michèle Rivasi, députée européenne EELV, s’étonne du fait qu’il n’est
aujourd’hui plus possible de trouver en pharmacie le vaccin DTP
(Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite), qui était jusqu’à présent le seul
vaccin obligatoire. Pour la primovaccination des nourrissons, les
parents n’ont pas d’autre choix que de recourir à un vaccin dit »
hexavalent », c’est à dire qui contient non seulement le DTP, mais en
plus la coqueluche, les infections à Haemophilus influenzae et
l’Hépatite B. « Je ne suis pas contre la vaccination, mais contre le
fait que désormais, les parents ne vont plus avoir le choix pour leurs
enfants, qu’ils vont faire vacciner contre l’hépatite B, parfois même
sans le savoir. Or à deux mois, le système immunitaire et la barrière
hémato-encéphalique des enfants ne sont pas achevés, ils restent très
fragiles. L’aluminium contenu dans les vaccins n’est pas sans
conséquences pour leur santé (1), surtout si on multiplie les
injections ». Le calendrier vaccinal recommande en effet de
réaliser le même jour le vaccin Prévenar, qui comporte pas moins de 13
valences de pneumocoques. Or, les réactions neurologiques peuvent
augmenter lorsque l’on combine tous ces différents vaccins (2).
Pour Michèle Rivasi « Nous sommes ni plus ni moins dans un schéma
de vente forcée et de désinformation du consommateur, avec la
complicité du HSCP. Et quand on sait que le Pr Daniel Floret, président
du Comité technique des vaccinations (CTV), n’est pas exempt de conflits
d’intérêts avec les fabricants de vaccins, on est en droit de se poser
des questions. A qui profite le crime ? Aux laboratoires pharmaceutiques
bien évidemment. L’ancien vaccin DTP obligatoire valait 10 euros, et les
parents savaient ce que ce vaccin contenait. Maintenant, le vaccin
hexavalent que l’on nous impose coûte 40 euros, alors même qu’il vaccine
contre des maladies pour lesquelles la vaccination n’est pas
obligatoire. Je suis sûre que de nombreux parents ne souhaitent pas que
leur enfant reçoive une injection contre l’hépatite B, puisque ce n’est
pas obligatoire. Alors pourquoi ne pas remettre sur le marché le seul
vaccin DTP ? Il y a là clairement un abus qu’il convient de cesser au
plus vite. »
http://www.michele-rivasi.eu/medias/la-vaccination-des-nourrissons-le-jackpot-pour-les-laboratoires-pharmaceutiques/
Vaccins : les conflits d’intérêts tuent !
01 avr 2015 (et ce n’est pas une blague)
Le Canard enchaîné révèle aujourd’hui que deux bébés sont morts, en
2012 et en 2014, après une vaccination recommandée contre la
gastro-entérite. L’un des nourrissons avait reçu une injection de
Rotarix, du laboratoire GSK, et l’autre s’était vu administrer le vaccin
Rotateq de Sanofi Pasteur MSD. Par ailleurs 508 effets indésirables ont
été observés.
Réaction de Michèle Rivasi, députée européenne du groupe des Verts/ALE et co-initiatrice de l’opération Mains propres sur la santé : » La
France s’enlise dans une dangereuse crise de confiance des citoyens
envers leurs institutions censées protéger leur santé. Pour deux décès
notifiés aux autorités sanitaires – après un délai injustifié- combien
ne sont pas encore connus ? Les difficultés de digestion sont très
fréquentes chez les nourrissons – qui par définition ne peuvent pas
dire où ils ont mal – et les parents ne font pas forcément le lien
entre un décès par obstruction intestinale et vaccination.
Ce scandale lié à des effets secondaires graves de
médicaments autorisés vient s’ajouter à une liste déjà trop longue :
Mediator, pilules contraceptives, vaccin du Gardasil contre le
papillomavirus, indisponibilité du vaccin obligatoire DTP, aluminium
dans les vaccins… A chaque fois c’est le même schéma de défaillance dans
la pharmacovigilance : sous-notification des effets secondaires,
maintien prolongé d’une balance bénéfice-risque de fait erronée,
maintien du médicament sur le marché jusqu’à ce qu’un scandale sanitaire
éclate, calvaire des victimes et de leurs familles pour faire
reconnaître le préjudice subi. Pendant ce temps, les labos continuent à
rétribuer grassement leurs actionnaires . »
L’eurodéputée écologiste de conclure : « Après les révélations de
Mediapart la semaine dernière sur la Haute autorité de santé et le cash
des labos versé discrètement à ses hauts représentants, les conflits
d’intérêts entre l’industrie pharmaceutique et les pouvoirs publics sont
une fois de plus mis en cause. Ici c’est le comité technique de
vaccination du Haut Conseil de la santé publique (HCSP) qui est pointé
du doigt par le Canard, le même Haut conseil qui s’inquiétait le 23 mars
dernier de la méfiance grandissante à l’égard des vaccins en France.
Aujourd’hui, les vaccins créent plus de problèmes qu’ils n’en résolvent,
il est temps de changer de paradigme sur la prévention. »
http://www.michele-rivasi.eu/medias/vaccins-les-conflits-dinterets-tuent/