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Commentaire de njama

sur L'extrême droite braconne chez les écolos


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njama njama 1er septembre 2016 17:34

@ Paul T

Dans la foulée je vous rappelle que Michèle Rivasi, députée européenne, membre de EELV qui ne manque pas de compétences scientifiques dans le domaine comme dans le nucléaire (fondatrice de la CRIIRAD), avait sur le dogmatisme vaccinal des prises de positions assez identiques à celles finalement assez soft du Professeur Joyeux aujourd’hui victime du tribunal de l’inquisition du Conseil de l’Ordre des médecins.

N’êtes-vous pas en train de vous tirer une balle dans le pied en faisant la chasse aux sorcières ? 

La vaccination des nourrissons : le jackpot pour les laboratoires pharmaceutiques ?

Michèle Rivasi, députée européenne EELV, s’étonne du fait qu’il n’est aujourd’hui plus possible de trouver en pharmacie le vaccin DTP (Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite), qui était jusqu’à présent le seul vaccin obligatoire. Pour la primovaccination des nourrissons, les parents n’ont pas d’autre choix que de recourir à un vaccin dit » hexavalent », c’est à dire qui contient non seulement le DTP, mais en plus la coqueluche, les infections à Haemophilus influenzae et l’Hépatite B. « Je ne suis pas contre la vaccination, mais contre le fait que désormais, les parents ne vont plus avoir le choix pour leurs enfants, qu’ils vont faire vacciner contre l’hépatite B, parfois même sans le savoir. Or à deux mois, le système immunitaire et la barrière hémato-encéphalique des enfants ne sont pas achevés, ils restent très fragiles. L’aluminium contenu dans les vaccins n’est pas sans conséquences pour leur santé (1), surtout si on multiplie les injections ». Le calendrier vaccinal recommande en effet de réaliser le même jour le vaccin Prévenar, qui comporte pas moins de 13 valences de pneumocoques. Or, les réactions neurologiques peuvent augmenter lorsque l’on combine tous ces différents vaccins (2).

Pour Michèle Rivasi « Nous sommes ni plus ni moins dans un schéma de vente forcée et de désinformation du consommateur, avec la complicité du HSCP. Et quand on sait que le Pr Daniel Floret, président du Comité technique des vaccinations (CTV), n’est pas exempt de conflits d’intérêts avec les fabricants de vaccins, on est en droit de se poser des questions. A qui profite le crime ? Aux laboratoires pharmaceutiques bien évidemment. L’ancien vaccin DTP obligatoire valait 10 euros, et les parents savaient ce que ce vaccin contenait. Maintenant, le vaccin hexavalent que l’on nous impose coûte 40 euros, alors même qu’il vaccine contre des maladies pour lesquelles la vaccination n’est pas obligatoire. Je suis sûre que de nombreux parents ne souhaitent pas que leur enfant reçoive une injection contre l’hépatite B, puisque ce n’est pas obligatoire. Alors pourquoi ne pas remettre sur le marché le seul vaccin DTP ? Il y a là clairement un abus qu’il convient de cesser au plus vite. »

http://www.michele-rivasi.eu/medias/la-vaccination-des-nourrissons-le-jackpot-pour-les-laboratoires-pharmaceutiques/

Vaccins : les conflits d’intérêts tuent !
01 avr 2015 (et ce n’est pas une blague)

Le Canard enchaîné révèle aujourd’hui que deux bébés sont morts, en 2012 et en 2014, après une vaccination recommandée contre la gastro-entérite. L’un des nourrissons avait reçu une injection de Rotarix, du laboratoire GSK, et l’autre s’était vu administrer le vaccin Rotateq de Sanofi Pasteur MSD. Par ailleurs 508 effets indésirables ont été observés.

Réaction de Michèle Rivasi, députée européenne du groupe des Verts/ALE et co-initiatrice de l’opération Mains propres sur la santé : » La France s’enlise dans une dangereuse crise de confiance des citoyens envers leurs institutions censées protéger leur santé. Pour deux décès notifiés aux autorités sanitaires – après un délai injustifié- combien ne sont pas encore connus ? Les difficultés de digestion sont très fréquentes chez les nourrissons – qui par définition ne peuvent pas dire où ils ont mal – et les parents ne font pas forcément le lien entre un décès par obstruction intestinale et vaccination.

Ce scandale lié à des effets secondaires graves de médicaments autorisés vient s’ajouter à une liste déjà trop longue : Mediator, pilules contraceptives, vaccin du Gardasil contre le papillomavirus, indisponibilité du vaccin obligatoire DTP, aluminium dans les vaccins… A chaque fois c’est le même schéma de défaillance dans la pharmacovigilance : sous-notification des effets secondaires, maintien prolongé d’une balance bénéfice-risque de fait erronée, maintien du médicament sur le marché jusqu’à ce qu’un scandale sanitaire éclate, calvaire des victimes et de leurs familles pour faire reconnaître le préjudice subi. Pendant ce temps, les labos continuent à rétribuer grassement leurs actionnaires . »

L’eurodéputée écologiste de conclure : « Après les révélations de Mediapart la semaine dernière sur la Haute autorité de santé et le cash des labos versé discrètement à ses hauts représentants, les conflits d’intérêts entre l’industrie pharmaceutique et les pouvoirs publics sont une fois de plus mis en cause. Ici c’est le comité technique de vaccination du Haut Conseil de la santé publique (HCSP) qui est pointé du doigt par le Canard, le même Haut conseil qui s’inquiétait le 23 mars dernier de la méfiance grandissante à l’égard des vaccins en France. Aujourd’hui, les vaccins créent plus de problèmes qu’ils n’en résolvent, il est temps de changer de paradigme sur la prévention. »

http://www.michele-rivasi.eu/medias/vaccins-les-conflits-dinterets-tuent/


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