Merci à l’auteur pour ces informations.
Le sujet est scabreux et demande du doigté !
Le positionnement des lecteurs vigilants et méfiants à juste titre vis-à-vis de la presse sous contrôle ont tendance à penser que les ennemis de leurs ennemis sont leurs amis. Les Etats-Unis présentant plus que jamais l’Iran comme le « mal », il convient donc, si on considère Trump comme le danger n°1 pour la paix, de considérer l’Iran comme l’inverse de ce qu’il dit, c’est-à-dire le « bien ».
Kissinger à déclaré que « détruite Daesh renforcerait l’Iran », ce qui d’emblée suppose que l’Iran soit le foyer du « terrorisme » (mot magique qui permet de couper court à tout débat).
Dans la réalité, les Etats-Unis on toujours divisé pour régner et nourri plusieurs serpents pour qu’ils s’entre tuent plutôt que de perdre leur hégémonie.
Le seul « crime » (à leurs yeux) que pourrait commettre la théocratie iranienne serait de cesser d’utiliser le dollar comme monnaie d’échanges internationaux, en particulier pour le gaz et le pétrole.
Les dirigeants iraniens actuels l’on bien compris, et les coulisses n’ont pas du tout le même décor que la scène : tou va bien entre l’oncle Sam et les ayatollahs.