Dans le cas présenté, il me semble qu’il aurait suffit de mettre un mot de passe pour que ce site ne soit plus public tout en continuant à exister. Je ne crois pas qu’un tribunal s’oppose à ce que les membres d’un syndicats et leurs sympathisants s’expriment en privé sur Internet. Comme seul le public de l’entreprise était visé, cela n’aurait guère restreint l’audience, je me demande pourquoi les concepteurs du site n’ont pas choisi cette option...
Am.