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Commentaire de

sur Université tristesse


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(---.---.248.228) 12 juin 2006 11:04

A votre place, j’écouterai pas la radio de l’avionneur...

Sans être exigeant, c’est particulièrement casse-couilles, BFM, comme du M6 mais sans l’habillage « people », ou comme Leclerc, sans la promo.

D’ailleurs, tant qu’on y est, croyez-vous vraiment nécessaire de nous infliger ces pleurnicheries sur l’université, ce potage tiède de critiques ringardes et laborieuses sur ce qui n’irait en France pour un ultra-libéral, c’est-à-dire à peu près tout ?...

Si vous n’aimez notre pays alors quittez-le. C’est simple. Prenez un avion, emmenez votre fils aux States, puique vous connaissez.

Et si vous teniez tant que ça à montrer votre prose (ça se comprend, c’est humain..), vous auriez dû mettre, à la rigueur, votre intro sur la Sorbonne (et encore...Les clichés sur l’historique..), suivie des quelques phrases. Comme celles un peu plus bas, par exemple.

Comme ça on aurait gagné un peu de temps. Lire la tambouille libérale d’un polytechnicien, on n’a malheureusement pas que ça à faire...Vous le comprenez, j’espère.

Je crois qu’Arthur a compris que certaines vérités sont indéniables : nous évoluons dans une économie mondialisée fondée sur le libre-échange et la libre-concurrence, la France est une ancienne grande puissance dont le déclin..

PS pour les lecteurs pressés, ou décrochés :

« Arthur », c’est le fils, voué à un angoissant parcours de lycéen en établissement privé. Parce que papa n’aime pas l’Université publique, il doit subir la promiscuité avec les hordes bourgeoises. Chose qu’il fait, nous rassure son papa, en vrai « baba-clean » (une des formules heureuses de papa-journaliste), avec une équanimité qui le conduira, n’en doutons pas, aux Amériques pour une golden réussitte, n’en doutons pas.

Sur les traces de qui ? de son qui ? De son papa !

Pour les happy-few, La suite d’« Arthur liberal born killer » sur BFM, 90 et des brouettes.


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