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rigas

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Chercheur (sociologue) travaillant sur le développement de la science et la technologie dans les pays en développement.

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  • Premier article le 25/06/2007
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Derniers commentaires



  • rigas rigas 3 juin 2013 23:15

    A part ça Axelos était d’extrême droite dans ses choix durant ses vieux jours (au moins) ... et maqué (je ne sais pas si marié ou pas) avec une députée fasciste du LAOS...Enfin bref, aucune simplicité ou bienveillance que vous semblez sous-entendre cher MicheL... Je n’ai pas l’impression d’avoir rencontré le bonhomme que vous évoquez dans cet article. J’ai rencontré un type secret, obtus, très sûr de lui, très mandarin. Assénant des certitudes sur « le destin » chez les anciens grecs avec une dureté certaine. Il était vieux et allait mourir un an plus tard. C’est peut-être l’âge ou l’altitude (je l’ai connu à Mexico).



  • rigas rigas 8 mai 2009 14:54

    Cet article qui épouse étroitement la position du gvt consiste à inventer la réalité plutôt que de regarder ce qui se passe.

    Vous dites :

    "D’abord, parce que sa direction est passée entre les mains des plus conservateurs : les « sauveurs » de l’Université. « 

    De quoi parlez-vous exactement ? Le mouvement n’a pas changé de main. Presque partout les étudiants et les enseignants mobilisés ont toujours été les mêmes. C’est même, malheureusement, une des réalités de tout mouvement de mobilisation. C’est ainsi. Votre phrase ne repose sur aucune observation réelle. Par ailleurs particulièrement ce mouvement a été un mouvement décentralisé, sans direction générale.
     

     »Ensuite, parce que la démoralisation – déjà très palpable – sera proportionnelle à la surenchère. « 

    Ceci est question d’appréciation : j’ai personnellement une impression différente : pas de surenchère mais par contre depuis une semaine une série d’attaques médiatiques ciblées de la part de Fillon et Pécresse. Le mouvement a été d’une sagesse exemplaire : vous ne faites que mentir en parlant de surenchère. Cest à force de résistance que le gvt a reculé au moins sur deux parmi quatre points de revendication.

     »Enfin et surtout, parce que, dans un souci irresponsable d’extension des actions, certains ont entraîné les étudiants en les privant de notes puis de cours. La rupture du « contrat de cours » utilisée comme instrument de lutte est bien plus qu’une erreur tactique monumentale : c’est le symptôme d’une pensée sociale malade.« 

    De quoi parlez-vous ici ? C’est une tactique aussi de de la méthode Coué que vous employez ici. De quel contrat parlez-vous ? De quelles universités ? De quels endroits. Quelle pensée social ? Donnez des sources, des références. Ce sont des accusations sans aucun fondement et qu ine reposent sur aucune réalité.

    La caractéristique de ce mouvement a été -je répète- systématiquement d’être un mouvement sur le terrain, pas une action organisée de manière centrale. De ce point de vue, c’est très différent de 2004, quand l’association »Sauvons la Recherche« est née. 

    Parlons des »signes« que vous semblez savoir lire, comme les augures : »effondrement des coordinations,impuissance médiatique, diminution des blocages, débats axés sur la reprise des cours et les modalités de rattrapage. "

    A aucun moment les enseignants en grève n’ont voulu pénaliser les étudiants. Vous voudriez que nous soyons maximalistes : nous avons été réalistes. Vous interprétez comme de la faiblesse ce qui a été toujours imaginé : à savoir, trouver une solution qui soit le moins difficile pour les étudiants. Ce ne fut pas le cas du gvt qui a l’air de vouloir jouer de la division sociale, de la même façon que votre article, en cessant les négociations.

    Vous semblez voulez être un connaisseur : "Reste à se demander pourquoi un tel mouvement aura produit une telle faillite, détérioré encore un peu plus l’image de l’Université et aggravé le fossé qui la sépare de la population.« 

    Tout d’abord, nous -chercheurs et enseignants - n’avons pas eu le sentiment d’avoir déçu »la population« ni d’en être détachés. Nous avons tenu à revendiquer un certains nombre de choses, quatre pour être précis :
    - RETRAIT DU DECRET DES ENSEIGNANTS-CHERCHEUR
    - ARRET DU DEMANTELEMENT DES ORGANISMES DE RECHERCHE
    - ANNULATION DE LA MASTERISATION DES FORMATION D’ENSEIGNANTS
    - UN PLAN PLURIANNUEL D’EMPLOI POUR L’UNIVERSITE ET LA RECHERCHE

    Vous qui semblez parler avec bcp d’assurance, vous ne semblez absolument pas au courant de ces revendications : Vou spréférez parler en l’air. Vous osez parler de »perspectives clarifiées, de la confiance et de l’avenir." Et de plus vous prétendez que [la population], attend la fin de l’échec. Ces changements, la population ne les attend pas du gouvernement mais de l’Université elle-même.« 

    Ne vous en déplaise, l’emploi dns les universités ce sont des postes budgétaires. Le gvt les a diminué. Il continue à le faire. Vous pouvez vivre dans un monde imaginaire où les universités font ce qu’elle veulent comme des PME, comem le veux aussi la loi LRU ; mais la réalité c’est un pays, une nation qui a besoin de la recherche, qui a besoin d’universités, pas d’une collection de petites PME produisant des étudiants au rabais, en concurrence et sans moyens suffisants pour financer des véritables emplois. 

    Ensuite vous parlez de la division du mouvement : cela a été la stratégie du gvt de toujours parler de la division. D’ailleurs votre post semble tout droit issu du Ministère. Si vous n’avez pas envcore de job, je vous propose de vous présenter rue Descartes.

    Vous dites en effet : »Soulignons que l’extension artificielle du mouvement à des secteurs étudiants fragiles a masqué la division du monde enseignant. Division entre titulaires et non titulaires, certainement. Mais aussi entre enseignants-chercheurs qui cherchent et enseignants-chercheurs qui ne cherchent pas. Ces derniers, particulièrement ciblés dans la dernière mouture de la réforme des statuts, sont, tout naturellement, en colère."

    Précisement. L’absence de plan de recrutement pluri-annuel a propovque cette situation et la précarisation de l’emploi universitaire. Le nier est simplement de la propagande.

    Vous voulez transformer l’université de fond en comble. Vous deviez commencer par la connaître minimalement.

    Le mouvement ne vous en déplaise ne « s’essoufle » pas, mais la fatigue est là. Celle provoquée par l’absence de dialogue voulu par le gouvernement. Je ne joue pas sur les mots : il est évident que personne ne s’attendait à un tel jusqu’au-boutisme de la part du gvt qui semble vouloir jouer l’exemplarité. Sarkozy aura ainsi dans son tableau de chasse les universités et les garnds organismes publics de recherche après Gandrange. Belle réussite dans l’application des réformes.



  • rigas rigas 7 avril 2008 10:23

    Je ne vois pas en quoi je considère que l’idéologie est toujours celle ds autres... passons.

    Ce que je soutiens c’est qu’à force de "décryptage" on en oublie l’essentiel.



  • rigas rigas 27 mars 2008 09:54

    @ philippakos

    Non seulement vous ne prenez parti pour personne (comme vous le dites) et vous vous en lavez les mains mais vous justifiez la situation du point de vue des autorités chinoises (du pouvoir en place) sous pretexte de ne pas se faire avoir. Pour ne pas se risquer autant ne pas bouger. Tout votre vocabulaire le signale : "dérive émotionnelle" les droits de l’homme entre guillemets, "·position unilatérale et définitive", "le pire est à venir".... A force d’équilibre vous trébuchez.



  • rigas rigas 26 mars 2008 19:33

    @l Philippakos (l’auteur de cet article)

    Vous avez pour l’essentiel raison, mais pourquoi mettez-vous des guillemets à droits de l’homme ?

    Le fait que la presse, les talk show, notre furie médiatique occidentale, engrange les infos comme ça lui convient ne suffit pas à déconsidérer le travail nécessaire des journalistes. Il y en a des bons et des mauvais. Il y en a des engagés et des non engagés (soit disant a-politiques, c’est-a-dire pour l’esssentiel des conservateurs à droite sur l’échiquier politique).

    Et vous demandez à être équilibré alors que rien au Tibet n’est équilibré : Au Tibet les tibétains se font bafouer, spolier, emprisonner. Et maintenant ils ont la rage. On a changé de génération : fini les gentils bonzes. On va voir apparaître des milices bouddhistes au gran dam de tous les hare krishna de notre Europe un peu trop grasse et un eu trop confiante en elle-même qui voudra continuer à croire que le bouddhisme est une religion de paix et de bonheur.

    Votre volonté d’être équitable dans le traitement de l’information vous mets dans une sorte de posture de "ni ceci, ni cela". Que deviendront les han qui sont au Tibet en cas d’indépendance, dites-vous ? Mais c’est de la pure science fiction. Que font-il aujourd’hui pour les tibétains ces han ? Vous terminez en disant : "qu’il serait bon que l’information remplisse enfin son rôle d’aide à la compréhension plutôt que de nous entraîner, en utilisant des moyens contestables, dans des réactions émotionnelles, certes porteuses d’audience, mais sans lendemain." Mais c’est aussi aux lecteurs, aux spectateurs que nous sommes aussi de réflechir. Non ?

    En tout cas, je pense qu’une partie de la déformation de l’image et l’exacerbation et l’irritation et la haine qui ont lieu auourd’hui sur/ au Tibet est précisemment en grande partie le résultat de l’absence d’information. de liberté de circuler, de penser. Il faut plus de journalistes, pas moins. Il faut plus de débats, pas moins. Tout le contraire de ce que recherche le pouvoir central à Pékin qui voudrait bien éviter tout débat sur la Chine avant, pendant, et après les JO.

    Chairetismous

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