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Jean-Luc Louis

Jean-Luc Louis

49 ans, écrivain auteur de 5 romans, un peu musicien aussi, s'intéresser à tout pour ne pas passer à coté de quelque chose...

Tableau de bord

  • Premier article le 15/06/2007
  • Modérateur depuis le 27/08/2008
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Derniers commentaires



  • Jean-Luc Louis Judas Nanasse 8 octobre 2008 18:57

    Vous avez raison, bien sur qu’il ne faut pas les lâcher, c’est comme si on avait fait couler le Titanic alors que le capitaine aurait fait une connerie en touchant l’iceberg mais que le navire aurait pu continuer à naviguer, d’ou le ton un peu sarcastique de l’article. Il est certain que même si ces quelques arguments choc mais réalistes tiennent, la solution n’est pas là.

    Que se passe t-il aujourd’hui ? on touche l’iceberg, et le signal est : il faut remettre en place des procédures et les respecter.
    Nous sommes face une fois de plus à une situation que je qualifierai de "post-deréglementation". Je m’explique : quand un ou des gouvernements dereglementent un système, il ne devient plus contrôlable, si on veut une nourriture de bonne qualité, il faut mettre des inspecteurs sanitaires, si on veut une eau potable "potable", il faut une agence de protrection de l’environnement, si on veut des compagnies aériennes plus sûres, il faut les reglementer pour que le service reste sûr et la maintenance de qualité, et si on veut des marchés de valeurs sûrs, il faut la COB.

    La réglementation reste donc le seul moyen de se garantir contre la recherche archarnée de bénéfices au détriment d’une certaine sécurité.

    Par contre, aujourd’hui on parle de sauver les banques sans forcément mettre le doigt sur les responsabilités. Les milliards d’euros qui vont être engloutis dans ce sauvetage ont ils une chance d’être un jour récupérés en dehors que via les contribuables. Il faut quand même être conscients d’une chose, c’est que quelque part on est en train de blanchir des voleurs. Les états vont-ils récupérer ces milliards avec les interêts qu’ils devraient demander aux banques ? 

    Ce qui est révoltant, c’est qu’ on couine à trouver 3 Mds d’euros pour le RSA alors qu’on trouve en quelques heures des dizaines milliards pour un sauvetage in extremis des banques.

    Ce qui est révoltant, c’est que si les banques n’avaient pas déconné, une simple partie de ces sommes permettraient de réduire les charges des PME et de l’artisanat, permettraient aussi de faciliter le développement du logement social et de l’accession à la propriété.

    Quoiqu’il arrive, et quel que soit le gouvernement depuis 20 ans, car ni la droite ni la gauche nous tenté d’enrayer le pourrissement de ce système, on sauvera les banques, il n’y aura peut-être pas 10 millions de chômeurs, ni un écroulement total du système que nous avons, il ne faut pas l’oublier, contribué à construire, et bien quoiqu’il arrive, le pouvoir d’achat baissera, de façon conséquente car c’est, d’une manière ou d’une autre, nous qui allons payer. Après la CSG, RDS, l’augmentation masquée de toutes les taxes diverses, l’impôt sur le revenu, le prix de l’essence, du pain, des légumes, etc, tout ça va augmenter et on nous ajoutera en plus la TSB, Taxe sur le Sauvetage des Banques, et le pouvoir d’achat risque de se retrouver au même niveau que si on ne les avait pas sauvées. Et bien sûr, le prochain gouvernement qu’il soit de droite ou de gauche, trouvera l’excuse qu’il faut continuer à en baver car c’est à cause du krach de 2008. La France et l’Europe sont donc bien montées avec ça, des menteurs et des voleurs, qui mentent et qui volent toujours au mêmes. Pourquoi on ne les colle pas au moins devant un tribunal national pour les condamner à vivre, ne serait-ce qu’un an, comme vit le français moyen d’aujourd’hui ?



  • Jean-Luc Louis Judas Nanasse 7 octobre 2008 18:31

    Je vois mal l’utilité de polémiquer sur ce sujet. Et on foutait la paix un peu à tout le monde, homos, héteros, l’essentiel n’est il pas d’être heureux avec celui ou celle qu’on aime ? On a déjà assez de problèmes dans la vie. Je crois que le mot d’ordre doit rester la tolérance et l’acceptation de l’autre tel qu’il est.

    Il est vrai que le terme déviance me gêne un peu sur les bords et au milieu...de même que le terme "soigner". Ce n’est pas une maladie que je sache.

    Orientation me paraitrait plus approprié, d’une part parce que c’est quand même moins péjoratif et qu’une orientation est la résultante de choix délibérés qui doivent rester personnels.

    Mieux vaut un homosexuel heureux qu’un faux hétéro malheureux.



  • Jean-Luc Louis Judas Nanasse 29 août 2008 18:00
    Well,

    Les erreurs stratégiques du PS ne remonte pas à Hollande ni à l’ex. La stratégie du PS à commençé à partir en eau de boudin au premier tour des présidentielles Chirac/Le Pen. La grosse erreur de Jospin a été de dire "j’arrête" et ainsi de décapiter le PS de son seul leader crédible à l’époque et qui avait réussi des prémisses d’union à gauche. Il n’aurait pas agi ainsi, il battait Sarkozy en 2007. La droite à bien évidemment surfé sur la vague en jouant l’union fait la force avec malgré tout un candidat charismatique pendant la campagne mais qui découvre maintenant ce que c’est vraiment d’être président de la République. Là ou NS a été génial, c’est qu’il est arrivé à faire d’une pierre plusieurs coups : Une fois élu, il lui fallait assurer de la tranquillité pendant ses premiers mois de mise en place pour définitivement casser l’opposition (et ainsi éliminer toute velleité de mouvements sociaux) d’ou la politique d’ouverture en récupérant quelques têtes connues et médiatiques de gauche et d’autres : il a donc joué sur les dissensions des leaders du PS qui souhaitent tous, on le sait bien, au fond d’eux même, avoir un peu de pouvoir par n’importe quel moyen, quitte à se prostituer, ça lui a permis en même temps de flnguer Bayrou qui la jouait plutôt à gauche. 

    Le principe de l’ouverture est louable dans la mesure ou il est utilisé à des fins profitables à la nation, par contre c’est douteux lorsqu’il s’agit uniquement de stratégie politique. C’est dans ce sens que Sarkozy a été génial, en utilisant les armes que la gauche et le centre lui ont donné pour les écraser définitivement, la preuve, c’est que la gauche tourne toujours en rond en se mordant la queue et qu’on Bayrou n’est plus présent que dans les archives du web.

    Un qui a loupé le coche, c’est Chirac lorsqu’il s’est retrouvé en face de Le Pen, lui avait toutes les cartes en main pour jouer une vraie politique d’ouverture entre les deux tours en 2002 quand la France est descendue dans la rue pour dire non à Le Pen, il mettait tout ce beau monde (gauche et centre) autour d’une table en disant, "les gars, on ne peut pas laisser faire ça, je suis certain de gagner, mais je ne veux pas gagner seul. je veux que ce soit la France qui gagne, une France unie face à l’absurdité" et Marseillaise. Il montait un gouvernement "de coalition" anti-extrêmes et lui aussi aplanissait toute forme d’opposition, mais d’une façon glorieuse et bénéfique pour la France et en plus il rentrait dans l’histoire comme "celui qui a osé" . Mais il ne l’a pas fait. Chirac était je pense un type bien (si on peut dire ça d’un homme politique, car pour en arriver au stade de Président de la République, il faut quand même avoir écrasé beaucoup de monde) mais il avait le don de faire des conneries. Et la connerie, papa, c’est comme la bandaison, ça ne se commande pas. Quand je pense à Hollande...je...ben non.


     


  • Jean-Luc Louis Judas Nanasse 27 août 2008 22:40

    En effet, vous avez toutà fait raison, c’était surtout pour le rythme du titre.

    l’avionique, pour être plus précis représente l’ensemble des équipements (instruments de navigation, certaines commandes de vols, radars, radio, pilote automatique etc.) qui permettent d’assister dans le pilotage d’un avion.



  • Jean-Luc Louis Judas Nanasse 27 août 2008 22:29

    Dans le cas qui nous intéresse, la vitesse verticale correspond à la variation d’altitude par unité de temps, elle correspond en fait au taux de montée ou de descente de l’avion. Elle se mesure avec le variomètre qui mesure la différence de pression en fonction de l’alitude à laquelle l’avion se trouve (à chaque fois que l’avion change d’altitude, la pression change aussi).


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