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PrivéPublic

Antoine DAVID, ingénieur. Marié 5 enfants. Créateur d’entreprise dans le marketing et l’internet. 20 ans d’expérience dans des "Utilities" (services publics marchands). .

Ma conviction : la crise sera beaucoup plus brutale que tout ce que nous avons pu connaitre. Les troubles sociaux, les tensions internationales , etc. nous promettent des temps difficiles. Rappelez vous les années 30 ! Il ne faut pas laisser les démagogues de tout bord tirer parti de la détresse des français pour suciter le chaos. La paralysie des services publics en cette période de crise constitue un signe avant coureur d’une démocratie en danger. 

Tableau de bord

  • Premier article le 04/12/2007
  • Modérateur depuis le 05/02/2009
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Derniers commentaires



  • PrivéPublic 12 février 2009 08:31

    Bonjour Mouche Zélée,

    Pour l’affaire J-K, c’etait son métier. Il devait "jouer" en bourse ou sur les marchés. Pas gagner plus pour consommer plus mais faire gagner son employeur car c’était ce que son employeur lui demandait. Et J-K était d’accord.

    En revanche, pour la crise, le krach, l’effondrement des banques, ok, vous avez raison. Le système était corrompu par la recherche débridée du profit, et le transfert des risques aux confrères.

    Cordialement



  • PrivéPublic 11 février 2009 16:06

    Ce n’est pas un saint. Il n’a pas respecté les procédures. ceux qui respectaient les procédures n’ont jamais fait de prouesses.A l’inverse de ceux qui contournaient les règles et faisaient prendre des risques à leur employeur en utilisant des techniques de type casino (je mise 50, je perds, zut. je mise 100, je reperds, zut. je mise 200, je gagne ouf je me refais. je remise 50, etc.).

    Au casino, ces techniques sont interdites et impossibles. Et on voudrait nous faire croire qu’elles seraient possibles dans la banque et indetectable par les limiers des controles des risques ?

    Si le back office de la banque en question avait voulu interdire ces pratiques litigieuses, nul doute qu’ils auraient pu le faire. si le seul critere de mesure, c’est le montant cumulé des engagements pris par le trader dans la journée, rien de plus facile à controler, on identifie toutd e suite celui qui joue avec des KE, celui qui joue avec des millions d’euro et celui qui joue avec des centaines de millions. Pas besoin d’outils sophistiqués, juste un cumul des positions. je rappelle de surcroit que TOUTES les conversations tel des traders sont enregistrées et sont écoutées par échantillon.

    Quand votre organisation vous incite à faire du résultat, et que personne n’est dupe sur l’unique façon de faire du résultat (jouer gros souvent), cela n’excuse pas J-K, mais cela ne peut pas dédouaner sa héirarchie.



  • PrivéPublic 10 février 2009 21:27

    Bonjour,

    j’ai essayé de relire votre article et je ne comprends pas trop ni les faits sur lesquels vous vous appuyez pour étayer nombre de vos affirmations, ni les solutions que vous proposez.

    Si on prend un unique exemple du caractère peu efficace pour la collectivité du système universitaire français, il n’est que de s’intéresser aux études de médecine. Je crois qu’il y a 7 000 places, j’avais retenu un chiffre de 22% de taux de réussite (passage en deuxième année). Soit 35 000 candidats, et 28 000 qui chaque année se retrouvent sans formation ni diplome, et peut etre 25 000 au bout de deux ans. Alors que ces candidats figurent parmi l’élite intellectuelle de la nation (nous supposons que la sélection en secondaire permet d’identifier les élites).

    Si on prend un second exemple, la formation de psycho. Où les candidats qui finissent leur cycle d’étude ne sont pas certain de trouver un job à la hauteur de leurs légitimes ambitions et à la hauteur de l’investissement qu’a réalisé la collectivité.....

    En quoi le fait de suggérer un décloisonnement entre certaines filières, ou en quoi la proposition de limiter le nombre de place en fonction des réelles perspectives professionnelles (de la sélection horreur) constituent-ils une remise en cause de notre démocratie ou de la qualité des formations délivrées ?

    Si l’université française se plait à vivre pour elle même et pas au service de la collectivité, si les enseignants chercheurs jugent pertinent de bloquer la nième réforme, en quoi le système dans lequel vous vivez aujourd’hui en sortira grandi.

    J’ai pas compris votre thèse, désolé.



  • PrivéPublic 9 février 2009 20:24

    Bonsoir Blé,

    je ne me sens aucune proximité avec ces agents du service public qui jugent utile de prendre leurs concitoyens en otage pour :

    • SOIT faire passer en avant les interets de leur corporation avant ceux des usagers,
    • SOIt et cela me parait beaucoup plus grave utiliser la grève comme arme politique dans la démocratie interne à ces entreprises (surenchère entre organisations syndicales),
    • SOIt et cela me parait INFINIMENT PLUS GRAVE utiliser la grève comme arme politique afin de susciter le chaos (d’autres diront préparer par une mobilisation progressive des citoyens un nouveau mai 68).
    En fait, comme je suis naif, j’ai du mal a imaginer que des français sabotent ainsi l’activité d’autres français selon le principe que plus ce sera le désordre, et plus leurs thèses se feront entendre. Et je ne suis pas loin de penser que nous sommes en guerre économique (contre la crise). Et que tout ce qui nuit à cet effort de guerre vient compliquer encore la vie de ceux qui sont en première ligne. ET j’ai la bétise de penser que en tant qu’employeur qui aurait la faculté, cette année, de recruter une oud eux personens de plus, je mérite plus que d’autres l’aide de mes concitoyens.

    Sur votre seconde question qui est que l’actionnaire, c’est mal, et que à choisir entre le gréviste et l’actionnaire, il vaut mieux le gréviste (excusez moi, je raccourcis votre propos). Et bien je pense que votre compréhension du sujet est différente de la mienne. Que l’on s’insurge contre des actionnaires vautours qui, après avoir pris le contrôle d’une entreprise, la saignent et l’affaiblisse par des distributions de dividendes disproportionnés, ou au contraire la pousse à la déraison (cf toutes les banques) en visant des rentabilités de fonds propres intenables, JE SUIS D’ACCORD AVEC VOUS.

    Mais ce sont une infime minorité d’actionnaires. Et comme vous avez peut etre un plan d’assuranec vie ou uen SICAV, vous les avez involontairement encouragés à se comporter comme des vautours.

    La grosse majorité des actionnaires, ce sont des petits patrons qui possèdent seuls ou à plusieurs leur outil de travail et qui sont les premiers à ne pas se verser de salaire quand la trésorerie est basse. S’ils gagnent de l’argent, je ne vois aucun mal à ce qu’ils en percoivent une légitime rémunération.

    Que tous ceux qui estiment que les actionnaires des entreprises sont des voyous fassent l’expérience de monter une boite avec leurs économies et d’accepter de prendre des risques avec leur argent. ET en 3 mois, ils changeront radicalement de point de vue sur la question.

    Le propos de cette tribune n’était pas de vanter le libre échange, le bonheur d’être acpitaliste ou la nécessité de privatiser les services publics.

    C’était d’abor dde rappeler à tous ceux dont le salaire dépend des rentrées fiscales et sociales du pays, donc tous ceux qui ont le privilège de travailler pour l’état, les collectivités, les services publics non marchands(éducation santé, etc) ou les services publics marchands gérés par le secteur public et bénéficiant TOUS (à l’exception de l’EDF, d’AREVA, etc.) de largesses de la collectivité sous forme de subventions diverses et variées (SNCf, RATP, POSTE, etc.), que à force de surcharger la "mule" (les entreprises) et a force d’empecher les gens de bosser, le nombre de cotisants et l’assiette de cotisation va baisser encore plus vite que du fait de la seule crise, et que notre démocratie risque de vivre des heures difficiles.

    Vous ne me croyez pas ? Regardez la crise que vont traverser - pour des raisons toutes différentes - l’espagne et les pays d’europe de l’est qui n’adopteront pas l’euro rapidement.

    Cela peut nous arriver très prochainement.

    Mais comme je crains que les motivations de Sud Rail et SUd PTT sont d’ordre politique nationale et tendent à susciter le chaos, je crains que leur objectif soit justement de faire vivre à notre démocratie des heures difficiles.


  • PrivéPublic 8 février 2009 12:47

    Merci de votre contribution...

    Vous suggérez que je ne pense qu’à mes intérêts dans cetet affaire. La majorité des commentaires aussi. Je prétend que c’est VOTRE interet à vous qui est en cause, et celui des salariés de la poste et de la SNCF, grévistes et non grévistes. Quand je fais 500 000 E de chiffre d’affaires, j’en reverse directement 350 à 400 000 en taxes, impots, charges et salaires. Tout ceci paye les retraites, votre salaire peut-être, celui des postiers de surcroit. Si "mes taxes" allaient directement à la Poste, avec 3 salaires, je finance pour 250 000 € de salariés des service spublics. A 40 000 euro par an charges comprises, j’en finance 6 !

    En affaiblissant les petites entreprises privées, les salariés remuant du service public pensent faire payer les riches et emm. le gouvernement. Je crois qu’ils se trompent de cible, et se tirent une balle dans le pied. Et je rappelle une nouvelel fois -je me permets d’insister - que 70% des petites patrons gagnent moins que le postier ou le cheminot en moyenne.

    Cordialement

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