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renaudparis

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  • Premier article le 31/03/2008
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Ses articles classés par : nombre de réactions






Derniers commentaires



  • renaudparis 6 mai 2008 11:58

     

    Je ne suis pas historien, ni spécialiste de la région mais dire que l’Occident voulait « se débarrasser des juifs » me paraît infondé. C’est oublier que d’une part, il existait une volonté forte d’une partie peuple Juif de constituer un Etat souverain comme l’atteste dans le roman le personnage de Aharon Tsouriel, le père d’Ilana, et, que d’autre part, personne à ma connaissance n’a contraint le peuple Juif à s’installer en Israël. En revanche, il me semble que c’est bien l’intérêt d’Israël d’attirer le plus de monde possible afin de renforcer sa souveraineté.

    En revanche, je partage votre point de vue selon lequel, « le véritable problème n’est pas celui des confessions ou des hommes, mais bien celui de la ‘’manipulation’’ par des esprits malintentionnés au point de l’endoctrinement, source originelle de l’extrémisme ». Toute religion, toute croyance est manipulable et malheureusement est parfois effectivement manipulée, instrumentalisée. C’est pourquoi il convient d’être vigilant, de faire preuve de retenue et de discernement. D’où l’importance primordiale de l’éducation pour développer à la fois un esprit de réflexion critique et de tolérance. Cette figure de l’extrémisme apparaît également dans le roman sous la forme du personnage de Mirabelle, personnage qui bien que marginal m’a fasciné et m’interroge.

    Enfin, par rapport à votre citation « ‘’votre Dieu est un Dieu unique, et c’est à lui qu’il faut prier’’ » et à l’assertion qui s’en suit selon laquelle c’est « un verset coranique destiné à tous les hommes, sans exception », je comprends la citation comme un message envoyé par une religion particulière à l’attention de hommes, ceux-ci étant par ailleurs bien entendu libre de l’ignorer et de croire ou non en un ou plusieurs Dieux. La religion à l’instar tout autre croyance est bien entendu une affaire personnelle et relève de la sphère privée.



  • renaudparis 2 mai 2008 23:25

    La littérature, quel avenir ?

    Armelle, en toute amitié, j’ai du mal à trouver du fond et des arguments dans votre article. Je ne m’explique pas ce pessimisme, ni ces références très classique, voire surannées (ce qui, par ailleurs, n’enlève rien à leur valeur).

    Ne le prenez pas mal mais votre article teinté de nostalgie n’invite ni à la réflexion, ni à aller de l’avant. On a le sentiment très fort d’une variation sur thème "tout fout le camp".

    Pourtant, il me semble que tout temps ont coexisté deux littératures : une pour se divertir et une autre que je suis bien peine de décrire mais qui parle à l’"intelligence" sous toutes ses formes et qui explore le monde, les sentiments, la psychologie, l’histoire, l’actualité... sur un mode plus ou moins artistique suivant le procédé narratif. Or dans la description que vous faites, la première forme, apparemment inédite, se substituerait à la seconde, indice évident d’une société décadente.

    Et bien, sans être historien de la littérature, je crois que cette vision est erronée.

    L’Homme est ce qu’il est et depuis bien longtemps. Il y a eu, il y a et il y aura toujours des artistes. Chaque jour il naît des écrivains. Et la littérature de divertissement n’est pas une invention moderne non plus. Simplement, cette littérature n’est pas passée à la postérité car ce n’est pas celle que l’on enseigne - et c’est heureux !

    Pour ma part, d’après ce que je peux lire sur les blogs, j’ai le sentiment que nous vivons une époque richesse incroyable et inédite, et entre autre du point vue de la littérature, grâce à l’Internet. D’Alembert, Diderot, Voltaire,... mais aussi tous les écrivains, les romantiques, les surréalistes, les nouveaux romanciers,... doivent crever de jalousie. Nous allons découvrir qu’il existe des dizaines, des centaines de milliers de Diderot, de Voltaire,... de Robbe-Grillet qui auparavant vivaient dans l’anonymat.

    Nous allons également découvrir - et peut-être de manière éclatante - que le talent, le génie n’est ni dans l’orthographe, ni dans la conjugaison - mais beaucoup d’entre nous et vous-même le savaient déjà.

    Le corollaire de cela, c’est aussi que nous porterons un autre regard sur ceux qui, en tout domaine, invoquent l’autorité ou l’institution pour se prévaloir de leur talent ou de leur expertise, "ceux qui font profession d’enseigner plus qu’ils ne savent" comme le disait bien le bon et humble Descartes.

    Je ne prendrais qu’une idée, Armelle, et vous laisse la déplier, l’explorer - sur Internet bien sûr : "la longue traîne" (the long tail).

    Bien à vous.

    (J’anime un petit et humble blog pleins de fautes : www.attrape-coeurs.fr.)



  • renaudparis 16 avril 2008 13:43

    C’est tout simplement terrifiant !

    Pour ceux qui doutent de ces faits qui se généralisent, je leur conseille d’aller à une manifestation et de juger par eux même.

    Rien ne remplace l’expérience.



  • renaudparis 31 mars 2008 17:33

    Spéculation ou négligence de la part du propriétaire, cette affaire témoigne tout de même de certaines aberrations.

    Comme le faisait remarqué à juste titre le riverain, si l’immeuble avait occupé, sa façade ne se serait probablement pas effondrée. On peut penser qu’habité, il aurait été entretenu a minima. Mais inhabité semble-t-il pendant de nombreuses années et livré aux intempéries (froid/chaud, humidité, infiltrations d’eau,...) sa façade n’a pas résisté.

    Drôle de paradoxe que la façade d’un immeuble inoccupé s’effondre a priori du fait qu’il est inoccupé, et du coup représente un danger pour les riverains et les passants, et que dans le mêmes temps des gens ne trouvent pas à se loger.



  • renaudparis 31 mars 2008 17:05

    Spéculation ou négligence de la part du propriétaire, cette affaire témoigne tout de même de certaines aberrations concernant le logement en France aujourd’hui.

    Comme le faisait remarqué à juste titre le riverain, si l’immeuble avait été occupé, sa façade ne serait probablement pas effondré. On peut penser qu’habité il aurait été entretenu a minima. Mais inhabité, apparemment depuis de nombreuses années, et livré aux intempéries (froid/chaud, humidité, infiltrations d’eau,...) l’immeuble n’a pas résisté.

    Drôle de paradoxe qu’à Paris des immeubles inoccupés s’effondrent, précisément du fait qu’ils sont inoccupés, représentant un danger réel pour les riverains et les passants, et que dans les mêmes temps des gens ne trouvent pas à se loger.


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