sdzdz
Avec près de 25 ans d'intérêt marqué pour la politique française et internationale, je me suis beaucoup plus fortement engagé en politique à partir de 2004, autour des débâts sur le TCE puis de l'élection de 2007.A l'opposé du système néo-impérialiste qu'est l'UE, sur une ligne républicaine souverainiste (articles 1et 2 de la constitution,) j'ai largement contribué à élaborer un programme politique suivant une approche (géo)stratégique, notamment un système de monétisation de la dette publique française (1500Md) dans le cadre de la Francophonie, ce juste après la crise de 2008.
Faute de candidat crédible sur cette ligne intransigeante de sortie de l'UE et de l'euro ou faute de candidature alors déclarée à la présidentielle, je suis à l'origine de la création de l'IRC, Initiative Républicaine de Coalisés à l'été 2010.
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- Premier article le 16/02/2009
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La France contre la crise
1403 visites 16 fév. 2009 | 6 réactions |
Derniers commentaires
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Je ne connais beaucoup de partis qui mettent la dette et sa résorption totale au coeur de leurs préoccupations, en dehors du parti que j’ai créé, l’IRC. Le FdG envisage bien une dénonciation partielle (ou totale) de celle-ci mais avec leur approche trop classique, l’effet serait désastreux sur la scène internationale (une perte de rang), avec toutes les conséquences que cela suppose sur les relations commerciales. DLR n’envisage qu’une monétisation partielle, donc étalée sur plus de 10 ans. Beaucoup d’intellectuels se vautrent d’ailleurs sur ce dossier, considérant qu’il ne représente pas un problème majeur.En fait le problème est aussi celui de la représentativité des élites qui dès le premier choc pétrolier ont cherché à préserver à tout prix la marge bénéficiaire des grands groupes et un système de rente pour elles-mêmes. La solution ? Piller les « riches » (classe moyenne) ! Réimporter un système de domination post-coloniale !Je rappelle que l’IRC défend depuis sa création l’idée d’une « monétisation » de notre dette publique sur projets francophones, un système bâti en 2008... -
Bayrou aux européennes puisqu’il n’est qu’un européiste forcené :
-« la France ne peut plus rien faire toute seule »...De plus, aucun candidat crédible ne devrait se laisser comparer à un « emmerdeur » ou à un « prophète ». -
Bayrou est un extrêmiste de l’UE (cf blog IRC) qui ne respecterait pas plus le vote des Français que l’UMP ou le PS.Le centre pourrait être considéré comme le coeur de la cible, un point de focalisation puis de convergence ou mieux la capacité à traiter les problèmes qui se posent au pays, dans un esprit républicain.Curieux comme la représentation politique dans un cycle plutôt qu’un hémicycle changerait notre perception. D’ailleurs j’ai vérifié qu’à l’assemblée nationale au moins, on déborde légèrement de l’hémicycle... -
Il est en dehors du système de balancier mais pour le reste...
Je viens d’ailleurs d’envoyer un courriel à l’appareil du Modem en posant UNE question sur le respect du vote souverain du peuple français exprimé en 2005, résultat ? pas de réponse... Il ne fut donc pas s’étonner si sarkozy et Hollande lui font des appels du pied ! -
Il faudrait surtout que Bayrou réponde au préalable à la question que je lui ai posée sur le site de l’IRC, sur le respect du vote exprimé par les Français en 2005 ou à défaut sur l’organisation d’un débat de fond sur l’ensemble des institutions européennes...
Un Président de la République défend la souveraineté et l’indépendance du pays ! Et je crois que la classe politique française dans son quasi-ensemble va se mordre les doigts de l’avoir oublié, ce dès les prochaines semaines.
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