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Causette

Causette

Du corbeau, je n’ai que l’image. Un corbeau coiffé d’un casque de Water polo car l’eau étouffe les mauvaises rumeurs. Vous pouvez me joindre en passant par le lien qu’on vous propose.

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  • Premier article le 10/05/2010
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Derniers commentaires



  • Causette Causette 8 mai 2010 03:16

    Ô Docdory !
    Vous me ravites ! Et la sonorité de cette conjugaison n’est pas à la mesure du plaisir que vous me fites.
    Cordialement !



  • Causette Causette 7 mai 2010 17:00

    Mais il me vient une autre idée par le constat de l’auteur des chambres composées majoritairement d’hommes.
    Les chambres étant censées nous défendre peut-être qu’instinctivement, c’est-à-dire poussés par des pulsions inconscientes, les confions-nous plus volontiers à ceux qui représentent la « force » et, dans notre instinct, ce sont les hommes qui la détiennent ? Et les femmes en tant qu’électrices ont ces mêmes pulsions irréfléchies ?
    Peut-être que le vote, après tout, n’est encore que trop instinctif dans nos contrées démocratiques ? Que notre humeur gâche notre raison ?
    Toujours poussés par notre cerveau reptilien trouvons-nous raisonnable qu’en période de conflit les femmes restent à l’abri pendant que les « forces » s’affrontent et force est de constater que les femmes ont des places à responsabilités plus facilement dans des pays qui n’ont pas connus la guerre ou des conflits à haut degré de violence depuis un long moment.
    Je ne cherche en aucun cas à faire de la provocation, mais énonce un de mes soucis qui est de ne pas savoir exactement qui et quoi contrôlent vraiment des décisions qui me semblent réfléchies (je parle de mes inconsciences).
    Cordialement !



  • Causette Causette 7 mai 2010 16:11

    Bonjour à tous,

    Mon petit avis : le « combat commun » des femmes tend à laisser la place à un combat individuel, que je ne mets pas entre guillemets volontairement, ce qui pourrait sembler une preuve que les inégalités s’amenuisent. Donc, il me semble que le temps est venu de « combattre en commun » les inégalités asexuées, mais je dis un bêtise car je m’aperçois que ces combats ont toujours, ou le plus souvent, été menés en commun.
    Je suis un Fan de Sophie Germain qui s’est imposée en douceur et avec toute la subtilité que l’intelligence confère.
    Personnellement je ne suis pas assez « intelligent » seul et ce sont toujours des femmes qui m’ont appris à gérer mes conflits.
    Quand je suis dans ma famille parentale, ce sont les femmes de la famille qui servent, desservent, et j’aide un minimum.
    Quand je suis dans la mienne, je sers, dessers et je suis aidé autant qu’on peut.
    J’ai un peu évolué, je crois.
    Les femmes qui m’entourent me suggèrent plus souvent ma façon de m’habiller que je ne le fais pour elles, je n’ai pas beaucoup évolué, je crois.
    Je suis un peu perdu.
    Bien à vous.



  • Causette Causette 4 mai 2010 17:55

    Bonjour Philoxera,
    Bien que n’étant pas un ardent défenseur des méthodes de la Sacem je dois vous contredire, elle ne taxe pas sur l’investissement, tout de même, mais sur le chiffre des entrées, si vous avez une billetterie. Et le chiffre de 8,8 que vous évoquez est variable et peut monter jusqu’aux alentour de 15 si il s’agit des n premières représentations d’une création originale.
    Je suis navré de ne pouvoir préciser car ces chiffres sont loin dans ma mémoire et j’ai la flemme de rouvrir mes dossiers.
    Mais si toutefois je me trompais et qu’effectivement la méthode de calcul des droits inclus l’investissement pour la création ou l’exploitation des spectacles n’hésitez pas à me signaler ces nouveaux articles.
    Cordialement



  • Causette Causette 4 mai 2010 15:59

    Bonjour à tous,

     Vous avez compris que la Sacem et la Sacd ont oublié une chose essentielle : Elles sont supposée être au service des auteurs, compositeur, etc…

    Malheureusement elles sontaussi au services des « ayant droits », c’est-à-dire le plus souvent les héritiers des artistes, mais aussi leur traducteurs, les héritiers des traducteurs, et la liste est longue des gens qui touchent des royalties sans avoir jamais commis la moindre « œuvre ». Savez-vous que les droits d’auteurs sont redevables pendant soixante-dix ans après la mort de l’artiste (non compris les années de guerre ???).

    Comme les ayant droits sont probablement plus nombreux que les artistes, je pense que c’est vers eux que devrait se tourner un brin de nos étonnements sur la politique de la SACEM et de la SACD. Car les dommages collatéraux sont plus graves que d’avoir à payer des droits d’auteur ridiculement forfaitaires, ces politiques entraînent l’oublie de certaines œuvres pour des raisons diverses. On ne joue plus Luigi Pirandello en France car les droits sont hors de prix. Jean Anouilh a disparu des scènes parce que ses ex compagnes se sont « battues » pour savoir sous l’influence de laquelle il a écrit telle ou telle pièce et combien d’autres absurdités encore…

    Un auteur ne peut plus disposer de ses droits et, par exemple, les accorder à titre gratuit…

    Bref, inutile de préciser que ceux qui dirigent ces institutions gagnent mieux leur vie, et dans des proportions indécentes, que la majorité des auteurs qui les nourrissent.

    Il serait intéressant de savoir d’où viennent ses dirigeants, qui les ont formés ? Serait-ce les même que ceux qui forment nos nouveaux banquiers qui n’envisagent plus le profit pour accompagner l’ « évolution » humaine mais seulement le profit pour le profit ?

    Bien à vous !

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