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Merci de ce votre long commentaire que j’ai lu avec beaucoup d’attention.Lisez la dernière phrase de ma réponse au commentaire précédent : je disais que beaucoup d’ensignants travaillent dans le « bon » sens, dont manifestement vous faites partie. Sinon le bateau tanguerait davantage... La question est que ce n’est pas vraiment reconnu, validé et généralisé.
Une simple remarque : la coopération ne s’oppose pas à l’efficacité, elle l’augmente au contraire. Mais, d’une façon générale, le travail en équipe - dans le sens le plus créatif et exigeant - n’est pas encore la norme à l’école, ni pour les élèves ni pour les adultes ; il n’est pas vraiment au programme des IUFM. Mais bien sûr ce n’est qu’un aspect du problème qui est complexe et, comme je l’écris, anthropologique et même « anthropolitique »,dirait Edgar Morin.
Vous soulevez beaucoup d’autres points qui mériteraint un dialogue. Relisons-nous mutuellement...
Bien cordialement
Merci de votre réaction.
Ce serait encore plus utopique si l’on ajoutait tout ce que vous proposez,et qui serait non moins bien venu. Ce texte renvoie à un ouvrage(cf note enfin d’aricle) qui apporte des témoignages de ce qui se fait déjà, et indique des portes d’entrée esentielles ; et place les problèmes de l’école dans une perpective d’intégration de compétences nouvelles, psychosociales, cultivées ailleurs et cultivables ici pour peu que les souffrances insupportables - ou l’attrait du mieux ! - nous réveillent...collectivement. Il y a beaucoup de personnes qui travaillent déjà dans ce sens.
Très cordialement