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LOUNÈS

LOUNÈS

Journaliste algérien

Tableau de bord

  • Premier article le 12/07/2006
  • Modérateur depuis le 26/11/2007
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Derniers commentaires



  • LOUNÈS LOUNÈS 11 février 2011 08:38
    Moubarak : Obama hausse le ton
    AFP
    11/02/2011 | Mise à jour : 06:41
    Le président des Etats-Unis Barack Obama a haussé le ton hier soir contre le régime de son homologue égyptien Hosni Moubarak, qualifiant d’insuffisantes les réformes annoncées par le dirigeant contesté et appelant le Caire à tracer un chemin « sans équivoque » vers la démocratie.

    « Les Egyptiens ont reçu l’assurance qu’il y aurait une transition du pouvoir, mais il n’est pas encore évident que cette transition soit immédiate, significative ou suffisante », ...

    « Trop d’Egyptiens restent incrédules sur le sérieux du gouvernement quant à une transition réelle vers la démocratie, et le gouvernement a la responsabilité de parler clairement aux Egyptiens et au monde entier », ... « le gouvernement égyptien doit tracer un chemin crédible, concret et sans équivoque vers une démocratie réelle, et (ses membres) n’ont pas encore saisi cette occasion »....
    M. Obama a mis en garde contre tout recours par les autorités du Caire à la violence.
    « Toutes les parties doivent faire preuve de retenue. La violence doit être évitée à tout prix », a plaidé M. Obama, en prévenant qu’« il est impératif que le gouvernement ne réponde pas aux aspirations de son peuple avec de la répression ou des brutalités. Les voix des Egyptiens doivent être entendues ».

    Il a aussi renouvelé son appel au « respect des droits universels des Egyptiens » et à la fin de l’état d’urgence en vigueur depuis près de 30 ans dans le pays, qui donne des pouvoirs étendus aux forces de sécurité.

    Et après le refus énoncé par M. Moubarak de se soumettre aux « diktats » des puissances étrangères, M. Obama a rappelé qu’aux yeux des Etats-Unis, il était du ressort des Egyptiens de décider de leur avenir.


  • LOUNÈS LOUNÈS 26 janvier 2011 06:26

    @ epapel et aux incrédules : Un journaliste professionnel sait beaucoup de choses que les forumeurs anonymes ignorent !

    Vous écrivez :
     "Les silences gênés et prolongés des autorités européennes et maghrébines prouvent que des conseils de crise sont tenus pour élaborer de nouvelles stratégies afin de contrer cette volonté des peuples maghrébins de se libérer de leurs tuteurs.

    Ceci prouve qu’il est facile de faire dire n’importe quoi à ceux qui ne s’expriment pas."

    Confirmation de mes propos parus ce jour dans la presse algérienne :

    Washington en discussions « privées et publiques » avec les gouvernements arabes

    le 26.01.11 | 03h00

    L’exemple tunisien invite à des réformes dans le monde arabe pour prendre en compte les « aspirations » politiques et sociales « légitimes » des populations, a déclaré le secrétaire d’Etat adjoint pour le Proche-Orient, Jeffrey Feltman, arrivé lundi à Tunis.

    « Les défis qui se posent dans de grandes parties du monde, en particulier dans le monde arabe, sont les mêmes. Nous espérons que les gouvernements répondront aux aspirations politiques, sociales et économiques légitimes des peuples, particulièrement si elles s’expriment par des moyens légaux et pacifiques », a déclaré à des journalistes le plus haut responsable de la diplomatie américaine pour le Proche-Orient. Il a souligné ainsi que Washington avait actuellement des « discussions privées et publiques » en ce sens avec les gouvernements arabes. 

    Suite de l’article : http://www.elwatan.com/actualite/washington-en-discussions-privees-et-publiques-avec-les-gouvernements-arabes-26-01-2011-108853_109.php



  • LOUNÈS LOUNÈS 18 juin 2010 11:19

    Darvet encore : « Simplement, si l’on remonte à 1998 et 2000, les deux grandes années des Bleus, il y avait un patron, Didier Deschamps, et toute personne qui ne se battait pas pour le collectif était éjectée de l’équipe. C’était autoritaire mais efficace, et c’est toute l’équipe de 1998 qui a fini par constituer un clan. »

    Erreur : Deschamps était le « patron » dans le viestaire et en dehors du terrain... Sur le terrain, le patron c’était Zidane. Quand il posait le pied sur le ballon, tout le monde se mettait au garde-à-vous, y compris les spectateurs dans les tribunes qui retenaient leur souffle en se demandant ce qu’allait bien pouvoir faire le maestro. Les journalistes étaient aux anges, etc.. ;
    Et si Jacquet alignait 3 demi défensifs, c’était pour protéger Zidane de ses adversaires, parce qu’avec un type comme Zidane, tu n’avais besoin que d’un seul joueur en pointe pour fixer la défense. Le reste du boulot Zizou s’en chargeait. Il jouait 3 postes en un seul match (milieu offensif, milieu tournant et ailier).

    Remarque très importante : Domenech n’a jamais aligné ENSEMBLE Gourcuff, Benzema, Nasri, Ben Arfa, Ribery. Or ces 5 jeunes joueurs auraient dû constituer l’assise offensive de l’équipe.



  • LOUNÈS LOUNÈS 6 juin 2009 14:57

    Voici ce que DCB écrivait dans son livre :
     
    Daniel Cohn-Bendit, Le Grand Bazar, Paris : P. Belfond, 1975. Dans le chapitre IX, « Little big men » :
    « [p. 198] J’ai travaillé pendant deux ans dans ce jardin. Il y avait des gosses entre deux et cinq ans. C’était une expérience fantastique. Si l’on est un peu ouvert, les enfants nous aident beaucoup à comprendre nos propres réactions. […] Au début j’étais plein d’énergie. Je jouais énormément, je me battais, bref je m’identifiais totalement à eux. Je me suis alors rendu compte que j’avais besoin d’être inconditionnellement accepté par eux. Je voulais que les gosses aient envie de moi et je faisais tout pour qu’ils dépendent de moi. Je crois que c’est le problème de toutes les grandes personnes avec les enfants. […] [199] Mon flirt permanent avec les gosses prenait vite des formes d’érotisme. Je sentais vraiment que les petites filles à cinq ans avaient déjà appris comment m’emmener en bateau, me draguer. C’est incroyable. La plupart du temps j’étais assez désarmé. […] [203] Les conflits avec des parents n’ont pas manqué. Certains enfants avaient souvent vu leurs parents faire l’amour. Un soir, une petite fille va voir sa copine chez elle, et lui demande : « Veux-tu faire l’amour avec moi ? » Et elle parlait de baisage, de bite, etc. Alors les parents de la copine, qui étaient des catholiques pratiquants, sont venus se plaindre, très, très choqués. Il m’est arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : « Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi vous m’avez choisi, moi, et pas les autres gosses ? » Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même. Alors on m’accusait de « perversion ». Il y a eu une demande au Parlement pour savoir si j’étais payé par la municipalité, toujours au nom de la loi qui interdit aux extrêmistes d’être fonctionnaires. J’avais heureusement un contact direct avec l’association des parents, sans quoi j’aurais été licencié. En tant qu’extrémiste, je n’avais pas le droit d’être avec des enfants. […] Pendant toute une période, je m’étais identifié aux gosses. Mais à partir d’un certain moment, les problèmes des enfants ont [204] commencé à ne plus m’intéresser. Ces gosses venaient d’un milieu social en fin de compte inintéressant. Ce n’était pas un jardin d’enfants normal, et l’expérience n’était pas assez radicale.[…] [209] Reich, c’est la lutte pour la sexualité, et surtout la sexualité des jeunes. Un des problèmes du jardin d’enfants, c’est que les libéraux admettent, à la rigueur, l’existence de la sexualité, alors que nous, on essayait de la développer, d’avoir un comportement qui permette aux enfants de réaliser leur sexualité. »



  • LOUNÈS LOUNÈS 6 juin 2009 14:04

    « une vieille affaire de jardin d’enfant datée et maintenant saturée et définitivement jugée. »
    Et puis quoi encore ? Cet article s’inscrit dans la tendance générale du lobby des médias qui protège qui il veut et assassine qui il veut.
    Personnellement, je remercie Bayrou de m’avoir informé sur un aspect de la vie privée de Cohn-Bendit que j’ignorais totalement.
    J’avais de la sympathie pour Daniel et je savais vaguement qu’il était pédé, mais je ne savais pas qu’il a été pédophile, qu’il l’a écrit et qu’il s’en est glorifié.
    Aujourd’hui, il s’en cache comme un malpropre. Et les médias continuent à le protéger en occultant ce côté hideux du personnage qui squatte les médias et parasite la clarté des messages politiques.
    Grâce à Bayrou, je considère que Cohn-Bendit n’est plus une référence politique.
    Ce n’est qu’un pédophile.


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