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Didier Heiderich

Didier Heiderich

Consultant, formateur et enseignant en Sciences de l’Information et de la Communication. Auteur de "Rumeur sur Internet" (Village Mondial) et de nombreux articles pour la presse spécialisée en management / communication / TIC.
Président de l’Observatoire International des Crises. 
Directeur de la publication du Magazine de la Communication de crise et sensible.
 
 

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  • Premier article le 25/08/2006
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Derniers commentaires



  • Didier Heiderich Didier Heiderich 25 novembre 2006 00:49

    Nous sommes dans un pays qui refuse les actions de groupe (class action) mais permet à un groupe de détruire un individu par le harcèlement juridique, voir judiciaire.

    Derrière ce harcèlement se cache la volonté de prévenir tous ceux qui imaginent faire de même dans le futur : « vous risquez gros, très gros, nous pouvons détruire votre vie et ceci en toute légalité. »

    Car comme le dit clairement Eva Joly : au-delà de simples scandales qui concernent quelques individus, passer un certain seuil, les volumes financiers permettent d’acheter un état et la liberté de milliers hommes et de femmes.

    Il est facile d’avoir un regard critique sur le travail de Denis Robert, de le disqualifier, de le délégitimer. Quelle idée d’aller s’attaquer à une banque inconnue du grand public et de dénoncer des pratiques douteuses ?

    Certes, à l’heure des gratuits, du journalisme fast-food, du cout par ligne, Denis Robert nous semble singulièrement désuet. Peut être parce qu’il fait parti des derniers à croire que notre société mérite encore que l’on se batte pour ses idéaux.

    Bon courage Monsieur Denis Robert.



  • Didier Heiderich Didier Heiderich 3 septembre 2006 19:56

    Effectivement échaudés par la bulle spéculative et la période « irrationnelle » d’investissements tous azimuts, les médias français restent en retrait de la sphère internet, même s’il faut souligner le modèle adopté par « Le Monde » - loin d’être ridicule en terme d’audience - et bien entendu Skyrock. Ajoutons ARTE qui vient de lancer ARTE VOD qui est une initiative plutôt intéressante de service ajouté, certes il s’agit d’un complément, comme vous le remarquez dans votre article. Plusieurs facteurs peuvent également expliquer cet attentisme. D’abord, comme vous le soulignez, le retour sur investissement hypothétique. Il faut également ajouter que notre langue est peu parlée à travers le monde, ce qui peut constituer un frein par rapport à l’énorme marché ouvert aux initiatives anglophones. Ensuite, la vision que l’on peut avoir du net est celle de la réussite des « pur players » et même si la presse pourrait s’inspirer du Guardian qui a investi avec force le web, les Google, Yahoo, AOL et autres eBay affichent une santé de fer : ce sont ces « pur players » qui marquent d’abord les esprits bien avant les exemples réussis de mix-medias à l’image de Wired (qui existait sur le web avant d’être sur le papier, ceci dit).

    La question que se posent effectivement les médias français est : quoi faire avec ce « machin » ? Quelle sera la chaîne de valeur ? Et comment éviter de se faire de l’auto concurrence ? Alors que les SMS rapportent tellement plus... (TF1, M6,...) Mais faut-il vraiment que les médias proposent autre chose que des compléments et l’accès aux archives ? Rien n’est moins certain. Les plateformes dédiées aux blogs sont légions, les réactions (conversationnel) et forums existent déjà sur nombre de sites web de médias, l’information est réactualisée hors bouclage, les dépêches d’agences publiées 7/7 24/24 et les reportages « perdus » de plus en plus publiés et beaucoup investissent dans le mix (le rédactionnel sur le site d’ARTE, par exemple). C’est déjà pas mal, non ?



  • Didier Heiderich Didier Heiderich 2 septembre 2006 23:59

    Vous lirez ce livre avec bonheur, j’en suis certain. Avec ce commentaire, vous soulevez la question « réglementaire » de l’évolution. Loin de moi l’idée de la rejeter, tant elle est fascinante et mérite le respect... Souvent, cette question « de l’aile » remet en cause le darwinisme à juste titre, même si ce n’était pas l’objet de votre propos, elle mérite une réponse. Si la science s’accroche tant à cette idée de l’évolution c’est aussi parce qu’elle est la plus contestée, pas scientifiquement, mais dans l’idée que seul Dieu peut être à l’origine des espèces. Cette théorie darwiniste mérite votre interrogation, mais tant qu’elle trouvera en face qu’une doctrine, elle restera du ressort du bouclier... se protéger d’ennemies potentiels plutôt qu’évoluer. En attendant, tant de choses seraient à découvrir : la vie mérite mieux qu’une bataille de clocher ? En attendant, elle est notre point commun...



  • Didier Heiderich Didier Heiderich 2 septembre 2006 23:58

    Vous lirez ce livre avec bonheur, j’en suis certain. Avec ce commentaire, vous soulevez la question « réglementaire » de l’évolution. Loin de moi l’idée de la rejeter, tant elle est fascinante et mérite le respect... Souvent, cette question « de l’aile » remet en cause le darwinisme à juste titre, même si ce n’était pas l’objet de votre propos, elle mérite une réponse. Si la science s’accroche tant à cette idée de l’évolution c’est aussi parce qu’elle est la plus contestée, pas scientifiquement, mais dans l’idée que seul Dieu peut être à l’origine des espèces. Cette théorie darwiniste mérite votre interrogation, mais tant qu’elle trouvera en face qu’une doctrine, elle restera du ressort du bouclier... se protéger d’ennemies potentiels plutôt qu’évoluer. En attendant, tant de choses seraient à découvrir : la vie mérite mieux qu’une bataille de clocher ? En attendant, elle est notre point commun...



  • Didier Heiderich Didier Heiderich 2 septembre 2006 19:41

    D’abord félicitation pour cette analogie avec la géologie : elle est également présente dans « Un hérisson dans la tempête ». Il est difficile de résumer les propos de Stephen Jay Gould... surtout pour un non spécialiste de l’évolution. Pardonnez par avance mes éventuels errements. Si j’ai bien compris la pensée qui l’anime, deux point fondamentaux sont à prendre en considération : la simplicité n’a pas de mise, sinon comment expliquer l’incroyable variété de solutions qu’offre la nature. La seconde, celle de « stress » - au risque d’être simpliste - peut s’expliquer ainsi : un changement de l’environnement induit des modifications comportementales ou des sélections génétiques (ex. sélection par la résistance à un virus). Mais surtout, je vous conseille la lecture de cet ouvrage qui vous ouvrira des horizons bien plus riches que toutes les réponses que je pourrais vous faire...


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