Car il y a la Morale. Il y a ceux qui mèritent ( les riches) et ceus qui ne font rien pour le devenir, (les pauvres) et puis le monde va bien ainsi (pensent les élites ) depuis tant de temps que c’est devenu biologique.
La condition de survie de ce système économique, c’est la concurence et la croassance, pensent et médiatisent les corbeaux moralisateurs.
Pour accéder à des espaces nouveaux, le gout du voyage est nécéssaire, et en matière de pognon, peu ont envie de bouger, chez ceusss qui le détiennent.
Alor je sais que vous avez raison, je sais aussi que plusieurs grandes crises seront nècessaires pour que le mépris pour les pauvres deviennent de la peur et que les détenteurs du pèse en relachent à nouveau.