Merci Sparte pour cet article.

Il est intéressant de remarquer combien certains sujets, il n’y a encore pas si longtemps, étiquetés comme alimentant des thèses conspirationnistes, peuvent trouver un écho aujourd’hui lorsqu’on observe l’actualité des sociétés du monde. Certains journaux ou même certaines parenthèses dans les journaux d’informations télévisés, abordent ces sujets.

Dans un autre domaine, une petite anecdote :

Lorsqu’un éléphant sauvage était capturé, les dompteurs de l’Inde,
avaient une technique très troublante pour dompter cette toute puissance de la nature..
En effet, ils se munissaient d’une énorme chaîne et attachaient une des pattes
de l’éléphant à piquet profondément planté dans le sol.
L’éléphant, alors, se débattait des semaines et des semaines, criant, rageant,
hurlant, pour retrouver la liberté de ses mouvements.
Les dompteurs pouvaient mesurer la puissance dont disposait l’éléphant,
tirant sans cesse sur la chaîne le liant au piquet, de toute la force de sa colère
et de son désespoir.
Dans tout ce processus, les dompteurs lui apportent nourritures et eau, lui parlent.
Au gré des semaines, l’énergie et la force de sa rage diminuent.
A un moment, les dompteurs retirent la chaîne pour mettre une solide corde.
Ils laissent l’éléphant avec cette corde pendant plusieurs jours.
Ensuite, au bout d’un temps, ils mettront une corde plus fine.
Puis une autre plus fine.
Oui, à la fin, l’éléphant adopte un comportement troublant,
il ne tire plus sur la corde, on pourrait dire qu’il en arrive à la croyance
qu’il ne pourra jamais se détacher de ce lien et il décide de ne plus dépenser aucune énergie
pour changer ce qu’il lui paraît inchangeable.
Et dans son « raisonnement », l’éléphant, ne fait aucune différence entre la chaîne et la corde toute fine dont il pourrait se libérer d’une simple pichenette.
Le caractère inchangeable du lien au piquet est inscrit dans son esprit.
Ainsi, les dompteurs disposent de cette masse de puissance capable de détruire une maison
et l’attachent n’importe où à l’aide d’une simple et fine ficelle.

Combien de dompteurs invisibles disposent-ils de nous et de nos ressources ?