Dans son semblant d’échange
avec Christophe Barbier (http://www.youtube.com/watch?v=txgSkvWAVis) dont je n’ai pas encore trouvé trace sur agoravox,
Jean-Marie Le Guen, exprimant en cela l’opinion des partisans de DSK
aveuglés par leur sectarisme, se donne l’air de conclure en
affirmant que la vérité de DSK est celle du « jugement rendu par
la justice américaine ». Le problème est que précisément, la
justice américaine n’a pas rendu de jugement. Elle a jeté l’éponge
avant, en raison d’une perte de crédibilité de la plaignante,
soigneusement attisée par la défense de DSK suite à des mensonges
sans rapport avec les faits.
J-M. Le Guen en reprenant
les arguments mensongers de DSK ne fait que mettre en évidence, pour
ceux qui ne s’en seraient pas aperçu que ce dernier, non seulement
se moque du monde mais a fait, avec son interview truquée, la preuve
de son propre manque de crédibilité, autrement en rapport direct
avec son affaire que celui de son accusatrice.
DSK est de la sorte un peu
plus dévoilé pour ce qu’il est en réalité : un personnage dont la
dimension est bien loin de celle que lui ont forgé et que continuent
de lui prêter avec obstination ses amis, au demeurant chaque jour
moins nombreux.