@ Robert Gil
Cher Monsieur,
Votre constat est très juste. J’observe que vous comme moi n’avons pas l’intention de laisser perdurer l’état de fait et le processus d’assujettissement que vous décrivez. La solution existe.
Voyez mon dernier Post.
« Les périodes électorales se suivent et se ressemblent. Celle où nous entrons voit refleurir sans retard la rhétorique creuse et hypocrite des barons de la droite et de leurs comparses socialistes qui, tels les automates solidaires d’un ancien jacquemart, viennent alternativement asséner aux citoyens les coups de maillet de l’évangile libéral : « la crise », « la dette », « au-dessus de nos moyens », « la nécessaire rigueur », « l’unité des Français », etc.
Alain Accardo, La Décroissance, septembre 2011.
Bien à vous, Renaud Bouchard