Adolphos a parfaitement raison.
Le Golpe a eu lieu le 11 septembre 1973, huit après que le catastrophique Allende ait perdu les élections législatives, sa coalition n’ayant obtenu que 41 % des suffrages.
Mais le vieux poivrot - on racontait alors, que le principal agent anglo-saxon qui hantait la pays, s’appelait... Johny Walker - profita de deux dispositions de la Constitution chilienne pour poursuivre sa révolution :
- le fait que le parlement ne pouvait pas le destituer, puisqu’il aurait fallu 66 % des voix pour cela ;
- les décrets d’insistance qui permettent de gouverner contre le parlement - c’est-à-dire contre la majorité démocratique du pays
C’est donc une dictature - et la pire qui soit, celle des gaucho-marxistes -, que les militaires ont abattu.
En outre, il convient de rappeler que si cette baderne bolchevique avait été démocratiquement élue, ç’avait été après avoir récolté 36,3 des votes - et pas un de plus - lors de la présidentielle de 1970.
On notera que ces vérités sont tellement gênantes que, dans Wikipédia, l’article Chili est protégé pour empêché les nervis de gauche d’en saboter le contenu.
Ce qui nous amène à constater que la popularité et la notoriété du dénommé Allende sont de purs produits de la zinzintelligentsia européenne. Qui, à la différence de certains grigris africains, ne met pas à l’abri des balles... )