« la faillitte des actionnaires : putain ! le beau programme ! »
et avec, celle des sociétés, donc plus de boulot. Ah si pardon, dans la boulangerie du coin... Mais plus de clients...
On en est pas passé loin, et je le répete, on risque d’y retourner.
Je suis du genre a penser qu’on a les dirigeants (politiques et autres) qu’on mérite (démocratie oblige, dans l’absolu) ; j’en tire donc qu’on a les faillites qu’on mérite aussi...
On verra bien.
Jeb