Les cultures imposées par le système « le fric roi et merde aux pauvres » ne servent pas qu’à l’alimentation des pays dits occidentaux, elles servent aussi pour les bio-carburants (c’est mieux de « nourir » des voitures que des êtres humains, ça rapporte plus de pèze) et autres produits « indispensables » comme les roses destinées aux marchés européens et cultivées sur des hectares de terres arables au Kénia, pays voisin de la Somalie où des gens meurent de faim tous les jours.
Au nom du pèze, du fric et du saint profit : allez en paix, financiers, vous êtes pardonnés de vos crimes contre l’humanité. Amen !