Bien dit Kobaia. Mais le consensus que vous souhaitez (et qui est l’étape suivante s’il y a un après crise ordonné), sera orchestré par qui ? Et avec quels participants ?
Là aussi, il va y avoir des tractations sans fin, et n’oublions pas l’influence extraordinaie de la finance mondiale qui verra d’un très mauvais oeil un ordre qui ne lui est pas aussi favorable. Les financiers ne prêteront qu’aux gouvernements les plus orthodoxes, c’est-à-dire à ceux qui leur seront les plus avantageux.
Gros orages à venir.