Merci pour votre commentaire, Richard.
Sauf à côtoyer très fréquemment le répertoire, il faut effectivement reconnaître que l’on se perd facilement dans les catalogues. C’est particulièrement vrai pour les périodes baroque et classique où l’on dispose parfois de plusieurs centaines de numéros d’opus pour certains compositeurs.
Bonne soirée.