J’accepte vos chiffres, qui sont de toute façon une estimation assez grossière tant il est difficile de chiffrer avec précision un programme présidentiel. L’important est sur le fond : Bayrou n’aurait pas creusé les déficits comme ses deux rivaux, en maintenant des recettes fiscales suffisantes et en limitant les dépenses. Cela aurait permis à la France d’être en bien meilleure situation pour aborder la crise, et nous aurions les resources disponibles pour relancer l’économie plutôt que d’avoir à paniquer face aux agences de notation...