Berlusconi, malgré toutes pitreries, ne s’est jamais présenté ivre à une conférence de presse, il n’a jamais ricané devant les cercueils de ses soldats, il n’a pas épousé une femme « fière de n’avoir aucune goutte de sang de son pays », et une seconde qui qualifie régulièrement ses concitoyens de « mInables » dans la presse étrangère.
A choisir, j’aurais préféré Berlusconi et toutes ses putes aux apatrides nauséabonds qui font la loi chez nous.
Il n’aurait jamais pu faire autant de dégâts.