Le futur a quelque chose de particulier, il n’est pas prévisible.
Il n’est pas totalement prévisible, mais il l’est partiellement, même si nous restons à la merci d’imprévus positifs ou négatifs que l’on peut appeler ’catastrophes’.
Ce qui sera demain est en grande partie le résultat de ce qui est aujourd’hui.
La marche vers le second conflit mondial était prévisible et prévue par certains qui n’ont hélas pas été écoutés.
Les données dont nous disposons aujourd’hui sur les ressources disponibles et la vitesse de leur épuisement permettent de conjecturer un scénario catastrophe tel que décrit par Michel Tarrier.