Bonjour,
Cela me fait penser à cette excellente nouvelle de Jean GIONO, « l’homme qui plantait des arbres »... A chacune de ses sorties avec ses moutons, il plantait une centaine de glands dans les collines de Provence. Il a fini par faire repousser une forêt.
Ici, mes ancêtres Cévenols ont souvent agi de la sorte. Planter un arbre est une assurance sur l’avenir pour la postérité.
J’aime les arbres. J’en plante autant que je le peux, je les regarde pousser, je les vénère, et ils m’apportent autant de bonheur que les animaux ou les humains.
Votre enfant a été bien élevée, et je lui dis bravo et bon courage !
Quant à la forêt Amazonienne (et à toutes les forêts humides du monde), elles sont la proie des faiseurs d’argent comme tout le reste de la planète.
Cordialement.