« Dan Steffan, une peintresse »
Ce serait un néologisme ?
Donc surement une ânesse aussi
Dorgelés avait réussi a faire rendre l’exercice d’un âne géniale à la critique , en faisant croire que c’était l’œuvre d’un peintre de génie.. Ce n’est qu’après la consécration qu’il avait avoué la supercherie ( on lui avait attaché un pinceau au bout de la queue
La qualité n’a guère besoin des mots, et de grandes explications hépiques, ou hippiques. Toute ce baratinage et ce vernis riches en diplômes de l’académie, et qui n’ont pour mérite que de fixer les couleurs et surtout les crédules.
L’art contemporain a souvent pour grand mérite de pouvoir transformer en artiste n’importe quel fils de famille pas vraiment doué, et qui aurait immanquablement du trouver une autre branche, (outre que la peinture en bâtiment qui demande elle aussi un minimum de qualités...)
Faites lui faire une école payante, ou le mot New York et art ressortiront, donnez lui un diplôme, et le voilà prêt à se faire subventionner par monsieur Pinault, si notre seigneur y consent bien sûr. Car dans l’art contemporain, c’est l’œil des puissants qui donne la mesure et l’estime.
Il y eut une époque où l’on ne pâmait pas d’avance devant n’importe quel fracas, détritus, projection.... (qu’il faut absolument baliser si l’on ne veut que les femmes de ménage avec leur bon sens et leur méthode ne les jette à la poubelle le soir, comme cela s’est passé plusieurs fois )
Ce système parfaitement rodé et blndé à toutes critiques, transforme les esprits ironiques et critiques, en has been réactionnaires, n’ayant évidemment rien compris, comme ce parfait avatar du capitalisme qu’il est, habile à tout pouvoir recycler
Sinon, les exemples que vous montrez ne sont pas mal du tout, et même lisibles au niveau de la qualité critique.
Je vais dire une horreur. Figurez vous qu’on dirait du figuratif !
Est ce pour tenter de réconcilier le public avec ce qu’on appelle l’art contemporain, titre un peu fumiste, dans sa volonté de faire une OPA sur la modernité.