Ce méa-culpa de l’Autorité hongroise de l’énergie atomique (HAEA) n’explique pas les traces d’Uranium et de Strontium détectées qui ne peuvent découler des activités de l’Institut des isotopes de Budapest.
C’est vraisemblablement un cover-up destiné à éviter de reconnaitre publiquement l’existence d’un incident dans la filière nucléaire d’énergie en Europe qui enfoncerait un nouveau clou sur le cerceuil de la filière..