Pour qu’un « enseignement » de la philosophie soit réel, il me semble qu’il faut 4 éléments fondamentaux :
1) Une capacité réceptive de l’élève, et ils sont bien rare les lycéens en terminal qui sont capable d’appréhender un texte d’Aristote ou de Nietzsche...
2) Un enseignant compétant, et mon expérience personelle me fait dire qu’ils sont extrèmement rares dans la discipline (mais peut-être que je me trompe).
3) Un apprentissage de la philosophie et de ses mécanismes et non pas un enseignement des textes philosophiques comme c’est trop souvent le cas.
4) Un choix critique des éléments philosophiques fournis aux élèves. J’ai lu dans l’article une référence à ce cher Freud... Freud à écrit pas mal de conneries (à peu près autant qu’il à écrit de choses intelligentes) et malheureusement c’est un peu trop souvent les conneries qu’on retrouve enseignées...
Gnole