Pas besoin de vitesse pour se faire un traumatisme crânien : une plaque de verglas et une mauvaise chute suffisent.
Ma femme en a été victime - sans être décédée pour autant, fort heureusement - et le problème c’est que ce genre de trauma n’est pas détectable immédiatement : elle a continué a skier pendant un moment avant que ses compagnons ne se doutent de quelque chose à cause de ses propos incohérents. Bref elle a fini en observation à l’hôpital pendant 24 heures.
Comme pour la bicyclette, je pense que le casque apporte un vrai plus au niveau sécurité. C’est vrai que question confort on a déjà vu mieux, mais peut être qu’avec le temps, une fois cet usage répandu, les fabriquants se pencheront sur le problème.