Vous commencez fort l’année Michel mais je ne peux vous
donner tord. L’homme a toujours vécu dans les excès et d’année en année ceux-ci
empirent, à croire même qu’ils sont devenus ses seuls repères. Ces fêtes qui
devraient être celles de la fraternité et du partage sont devenues celles des débauches
commerciales et alimentaires. Ainsi va le monde que nous faisons, triste et
éphémère dans ces petits bonheurs mesquins et possessifs…