John_John,
Je me dois de copier coller ce que j’ai posté sous votre autre avatar homonyme, puisque j’ai remarqué que vous possédez par je ne sais quelle diablerie le don d’ubiquité agoravoxienne.
vous amalgamez tout : vos critiques de la personne et
vos critiques de ses propos, preuve que vous ne savez pas argumenter
correctement ou n’avez pas confiance en vos arguments : et pour cause,
puisqu’ils ne sont manifestement pas de vous mais de votre catéchisme,
vu que vous ne les énoncez pas correctement.
Vous écrivez : « Vous étalez votre inculture crasse, le libéralisme parle de droit, alors que vous parlez de morale ».
Je
ne crois pas que vous soyez en mesure de comprendre l’ineptie de cette
phrase, absurde à plus d’un titre. C’est comme si vous disiez : "Vous
étalez votre inculture crasse, le libéralisme parle de liberté et vous
d’égalité".
Sachez, ignorant que vous êtes, que la morale
n’exclut pas le droit, et réciproquement ; de même, la liberté n’exclut
pas l’égalité et réciproquement. Mais pour vous, apparemment ce n’est
pas évident.
Sur votre confusion entre économie et politique :
si l’économie est rédhibitoirement amorale, il n’en est pas de même de
la politique. Nier la composante morale de la politique, c’est nier sa
spécificité première, et c’est par conséquent refuser la démocratie.
Nous le savions bien que les libéraux étaient ennemis de la démocratie.
Votre réfutation de la morale en politique en apporte la preuve.
Vous nous dites que le libéralisme c’est le rejet de la morale au seul profit du droit. Mais de quel droit parlez vous ?
A ce sujet, je vous dédie cette pensée personnelle : La
dérèglementation néolibérale déconstruit les archaïsmes ? L’ultra libéralisme
revendique la primauté du droit naturel en lieu et place de la morale ? Les brevets sont des archaïsmes qui ne sont pas
des droits naturels ! enterrons les brevets ou bien enterrons le libéralisme
!
En effet, typiquement, les brevets c’est la protection par
le pouvoir politique d’un droit typiquement contraire au droit naturel.
Libéraux, vous êtes là encore une fois mis au pied du mur de vos
contradictions, les contradictions de cette non-pensée intégrale qui se
nomme le libéralisme.