"Que proposait la CFDT ? Que l’état prête à un taux privilégié aux
salariés de SeaFrance les fonds nécessaire au rachat de l’entreprise.
Ceux-ci auraient ensuite remboursé, sur la base des bénéfices de la
société."
Problème : il n’y aurait jamais eu de bénéfices compte tenu du fait que la concurrence emploie deux fois moins de personnel pour faire le même travail, et comme la CFDT voulait qu’aucun salarié ne soit licencié alors son plan était bidon.