D’accord avec Ekaterina.
Nous avons au contraire à faire à une génération de « leaders » qui sont persuadés que les crises sont des opportunités.
Et que la « Big One » qu’ils attendent impatiemment depuis le Club de Rome (1970) va leur permettre de faire table rase du passé et instaurer un nouvel ordre mondial.
C’est juste une nouvelle illusion qui va finir comme leurs deux précédentes tentatives d’instaurer un ordre et un homme nouveau (1914 et 1939) : en boucherie généralisée.