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En réponse à :


easy easy 15 janvier 2012 00:05

Nonobstant tout ce que peut en dire Freud, je crois assez en ce phénomène mais en précisant bien qu’il vaut d’autant plus que le contexte culturel ou familial insiste sur le pouponnage maternel.

Il existe des contextes où cette jalousie est beaucoup moins présente voire inexistante. Il en est ainsi des familles, villages ou peuples où l’enfant est très peu pouponné et très tôt mis en relation avec la meute des autres gosses. La mère passe alors rapidement accessoire (elle n’a pas de congé maternité et travaille comme d’ordinaire), surtout si le gosse vit et dort en meute avec les autres gosses, par exemple dans une longue case réservée aux femmes allaitantes et aux petits enfants. Le père ressort peu visible, passe quasiment inexistant car confondu avec les dizaines de tontons du quartier.

C’est surtout depuis 1950 en France, où l’enfant est devenu fortement et longuement pouponné par sa mère en étant trop isolé d’une communauté de gosses, qu’il a vu en sa mère un alfa et oméga, qu’il a vu trop fortement la présence du père, qu’il en est donc devenu jaloux à grimper aux rideaux


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