Il est à remarquer que l’arme qui illustre cet article fait partie de la panoplie dont tout gentleman pouvait se munir à l’époque bénie, d’avant 1911, quand les hommes de qualité pouvaient voyager munis de leur seule carte de visite, quand l’or dans leur bourse avait cours partout, qu’ils pouvaient porter une arme pour se défendre.... et se procurer, en tout légalité, des douceurs en pharmacie pour soigner leurs états d’âme...
Et quand les atteintes à leur sens de l’honneur étaient réglées, séance tenante, sur le pré...