@ epapel.
Au contraire, et pour répondre à @ Gabriel (voir ci-dessus) il n’est pas inutile de remettre les choses à leur juste place en rappelant qu’en matière de TVA, les entreprises, en particulier les TPE et PME n’ont d’autre choix que d’endosser bien involontairement (et avec la plus extrème ponctualité dans les versements) le rôle de percepteur pour le compte d’un créancier privilégié qui est ce qu’il est.
Une augmentation significative du taux de TVA est d’abord une contrainte directe sur la trésorerie d’une entreprise. Si celle-ci connaît déjà des difficultés de trésorerie (cessation de paiement d’un gros client, rupture anticipée d’un contrat de fourniture pluri annuel,...) et que sa banque ne suit pas, c’est d’abord et avant tout l’emploi des salariés qui constituera la « variable d’ajustement ».
Est-ce vraiment ce que l’on cherche ?